dimanche 23 février 2014

Enculage généralisé?

Un exemple de fait qui mets le consommateur de mauvaise humeur:

Je téléphone à mes parents pour prendre des nouvelles et à trois reprises je tombe sur leur répondeur. Normalement le téléphone sonne 4 fois avant que le répondeur ne se déclenche, mai là,  dès la seconde sonnerie le  répondeur décroche. Je suis donc facturé pour cette communication. Après trois tentatives je rappelle à nouveau et le téléphone sonne trois fois puis mes parents répondent. Je leur signale que je suis tombé sur le répondeur à plusieurs reprises mais ma mère me dit "On était présent dans la maison et on s'apprête à manger". 

Si le  répondeur c'est déclenché immédiatement c'est qu'il y avait probablement un problème de communication. Pourquoi ne pas avoir laissé les quatre sonneries  s’exécuter avant de déclencher une facturation?

Je crois avoir compris: lorsque j'appelle et même si je n'ai pas obtenu mon correspondant, j'utilise un service (probablement un service réseaux) et on me facture ce coût en forçant le répondeur à répondre immédiatement.  Cela m'arrive aussi très souvent lorsque je tente de joindre un téléphone mobile.

Pour cette "communication" vers un répondeur j'ai été facturé à chaque fois 0,02 centimes d'euros.

Là encore on peut apprécier le service "gratuit" de répondeur téléphonique fournis je crois par Orange à mes parent et on peut aussi constater dans ce cas que Google voice en profite aussi. Je signale finalement que mes parents vont être obligé de passer environ une minute à faire défiler des messages vides sur leur répondeur. 

Vive le service!!..

On comprends maintenant pourquoi certaine grandes sociétés ont décidé de développer leur offre de service ou  même de se transformer en société de service: Pour ne pas laisser les concurrents prendre la plus belle part du gâteau. 

dimanche 26 janvier 2014

L'atteinte à la vie privée encore!

Je relate les faits:
Hier je marche et rencontre sur l'ancienne voix de chemin de fer une connaissance.
Je discute puis je reçoit une réflexion concernant ma santé mentale: "il est dans son monde....".
Je rentre chez moi, parle tout haut seul dans ma maison, et excédé je lâche: "ce prostitué!..." tout en relatant les faits.
Aujourd'hui je refais ma promenade et arrivant en ville je le voix dire à un voisin dans la rue avant de rentrer chez lui: "je ne suis pas un prostitué". Le voisin rétorque : "il ne faut pas lui parler comme ça".

C'est la troisième fois que l'on me fait le coup à Scaër. Si j'essaye de m'expliquer à ce sujet avec lui , il me répondra peut-être comme l'autre que "c'est pour me protéger". Si cela n'est pas de l'atteinte à la vie privé qu'est cela  est? Lorsque je parle de mes problèmes avec  un psychiatre il répond avec "délires anciens"! La bataille vas être très rude avec le système. Je ne permettrai pas que l'on mette tout sur le dos de  la psychose. Par contre je reconnais qu'étant donné le caractère ancien et continue des agressions, j'ai finis par subir un traumatisme et c'est pour cela que je consulte.

Au fond je ne suis pas mécontent que au plus haut de l'état on est pu  publiquement évaluer le effets de ce qui est devenu un  phénomène de société: l'espionnage généralisé favorisé par le progrès technique .
Je pourrais essayer cette hypothèse sur  la situation du chef de l'état : 
Etant donné qu'ils ne sont pas marié et qu'ils ont des contraintes d'organisation. Ils ont peut être pu décider comme le ferait un militaire qui part en campagne 6 mois par ans de "s'arranger" et "d'officialiser" ce qui de toute façon a de grand risque d'arriver. Tout en se promettant d'être discret pour éviter le risque d'humiliation du partenaire. Bien sur la situation est peut être toute différente....

En tout cas  cela pourrait être l'occasion de mijoter une nouvelle réflexion et une nouvelle loi sur la protection de la vie privée et d'augmenter le tarif des infractions faite par les citoyens et aussi éventuellement par la police!     

dimanche 17 novembre 2013

A nouveau sur l'atteinte à la vie privée.

Je voudrais expliquer qu'il me semble dangereux de mettre les gens sous pression en les harcelant de différentes manières et en même temps les surveiller de manière illégale et  distribuer des extraits au sein de la population.  

Pourquoi l'enregistrement que j'intitule "attention" n'a-t-il pas été joint au dossier? 
Une plainte pour atteinte à la vie privée est-elle redoutée? 

vendredi 15 novembre 2013

Un point de jugement.

Lorsqu'on ma demandé ce qui s'était passé j'ai expliqué que je courais. Mais il est vrai que je ne cours pratiquement plus. La course étant un élément en ma faveur le juge me fait remarquer qu'il est malencontreux que je me remette à courir juste à ce moment et donc qu'il est probable que cela soit  un mensonge. Je ne pensais pas que cette partie de ma déposition serait remis en cause. De plus comment aurais-je pu rattraper les promeneurs si je n'avais pas courru? A mon avis la partie adverse doit savoir que cela n'est pas un mensonge en tout cas ils ne sont pas très claire. Mois  je l'ai toujours été sur ce point. Je veux donc expliquer pourquoi ce jour là faisait partis des jours ou j'ai essayé de recommencer à courir parfois à mis chemin de la marche et de la course. Depuis plusieurs années j'ai essayé de reprende mais à chaque fois un obstacle s'est mis dans mon chemin. J'ai d'abord eu des problèmes de dos avec deux sciatiques à droite puis une à gauche. Juste après ce fameux accident qui est considéré comme une agression j'ai eu une cruragite après avoir décidé qu'il était plus prudent de rester chez moi et faire du rameur. Il faut aussi prendre en compte les problémes infectieux de prostates avec environ 4 rechutes. De plus de mi-mai à mi-août j'ai de l'asthme à cause du rhume des foins. Le mois d'aout est le mois propice pour démarrer l'entrainement et perdre un peu de poids. Le fait que je recommence et ne soit plus entrainé est bien en faveur de l'apparition d'un accident auquel il faut ajouter l'énervement et la fatigue nerveuse liée au travail de nuit et au harcelement. Il est difficile de ressortir une telle explication dans un dialogue. L'avocat aurait peut-être du -lors de la préparation- marquer les  arguments et compléter le témoiniage après l'intérogatoire. S'il avait été convaincu.


mercredi 13 novembre 2013

Vive le dessin.

Verdicte du dessinateur: "vous êtes fou".
J'ai senti cette raideur mêlée de fierté artistique et de rigueur scientifique typiquement Freudienne!...Il n'a probablement pas apprécié que je considère le fait de me faire traiter de communiste  comme une injure. Je suis en plein Goulag et même pas un ami sur qui compter! Pourtant  ils sont nombreux ceux qui ont  pu observer le phénomène social.

Bien sur ma paranoïoa ma fait sauter directement sur des conclusions érronées!
Il était peut-être un pur produit du capitalisme Américain.
Tout cela n'est que  probabilité.
Tout le monde peut se tromper.
Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire
Ca ira mieux lorsque j'aurais consulté un expert de la santé mentale.

C'est le problèmes des partisans du parti unique: lorsque vous refusez l'aide qu'il vous apporte c'est donc que vous êtes fou. D'où les goulags et les révolutions culturelles.

Est-ce qu'on a une meilleure profondeur de champ en plissant les yeux?

Finalement  et bien que mes statistiques soient insuffisantes, il me semble que parfois, avec un traitement approprié au future pigeon qui est aussi un prédateur, on peut faire de l'argent gâce à la justice. Bien sur je ne parle pas de mon propre cas puisque la partie adverse n'a pas obtenu entière satisfaction. La justice est malgré tous les efforts un filtre, il est donc impératif de savoir ce qui passe bien et ce qui passe mal. Ce qui est  facilement ou  difficilement prouvé. Lorsqu'on s'engage dans des chemins boueux et face à des adversaires peu  délicats.

Maintenant  ils me croiront peut-être si je leur dis que je suis un con! Ou que j'ai la tête dure! Ou que je suis fou! Finis de dire "il est très doué". Au lieu de cela ils diront "finalement c'est qu'un looser". Aurais-je la paix pour autant?
Signé:
SillyInsaneBoy!

lundi 4 novembre 2013

Et encore une couche de harcèlement.

Couple de femmes:
La vieille dit à la jeune "il faut éviter de sortir avec un type comme ça, il est trop sale". Puis plus tard à la caisse :"tu nous plais".

Une cliente à une employée:
"C'est une ancienne prostituée....elle lui plait...c'est là qu'ils les mettent en attendant de les caser avec une bonne âme..." ".....le notaire a dû croire qu'il était comme lui, c'est pour cela qu'il l'a aidé....".
Moi je pose cette question : Aidé ou Baisé?

Un client avec une queue de cheval :
"Vous serez condamné" puis "vous ne serez pas repris".

Un camionneur dehors:
"Ils l'on employé sans lui demander sa permission.........c'est interdit par la constitution".
Je dirais même plus...pas de contract, pas de rénumération, pas de dette à payer....
Vraiment?....
Un peu trop de chômage peut-être........
Je me demande bien ce qu'ils ont pu me faire faire....
A moins qu'ils aient seulement essayé de m'empêcher de faire trop de conneries.....
Ce qui expliquerais que c'est moi au contraire qui ai payé un salaire...sans le savoir....
Dans ce cas il vas être difficile d'obtenir une "augmentation" ......ou la retraite anticipée......
Le respect de la légalité n'est pas leur principal problème contrairement à la sanction.
De toute façcon je me suis toujours fait prendre et  je ne suis donc pas un bon prospect.

Je n'arrive pas à me souvenir de tout, c'est parfois difficile à entendre...parfois je note des plaques minéralogiques, parfois je prends des photos. Trop fatigué aujourd'hui....

Je suis toujours un peu dans la moyenne avec environ 5 personnes par sortie dans des lieux publics à Scaër.

mercredi 30 octobre 2013

le harcellement quotidien

Je sais que ce journal n'ai pas très varié ni très amusant à lire mais il est destiné à informer toute personne le désirant sur ma vision de ma situation en bretagne.

Aujourd'hui donc je suis allé faire les courses, j'arrive sur le parking qui est presque vide et au moins quatre véhicules sont arrivé jusqu'à ce que je reparte. Bien sur tous ne me sont pas destinés.
Inventaire:
-- caissière: "il faut continuer, il y a longtemps qu'il aurait retrouvé, vous serez condamné". (je précise que je travaille de nuit).
-- cliente "vous vous êtes amélioré" (je viens d'envoyer un mail  en mauvais anglais). 
-- clients avec sa fille 18 ans :"il est fou", puis tu lui plais" (je ne l'ai pratiquement pas regardé).
-- autre cliente: "vous vous conduisez normalement" (sous entendu vous n'avez pas l'air fou).
-- autre cliente avec ses enfants: "vous êtes beau". 
-- client sur la parking: "vous n'avez pas recommencé".

Lorsque j'ai parlé avec un psychiatre de cette situation il a commenté en disant que j'interprétai de manière très négative le comportement des gens à mon égard ou que cette interprétation est  le fruit d'hallucinations. Je dois préciser qu'il est possible que ce psychiatre soit aussi Breton. Je suis traité au travail de la même manière et même pire puisque il est aussi possible de faire de l'obstruction. Recement après 1 semaine d'arrêt de travail pour gripe (que j'ai essayé d'éviter) je me suis retrouvé -encore en convalescence- en surcharge sur mon poste, poste que j'ai jusqu' à présent exucté seul mais que j'ai vu exécuté par deux personnes à plusieurs reprises. Des gens sont intervenus semble-t-il pour corriger l'anomalie. Un collègue me dit: "S'il s'est touché c'est qu'il n'est pas fatigué!!!!...." (Encore un perroquet!). Quand j'ai envie, je me touche même si je suis malade. Mais comment sait-il que je me suis touché? Il y a -t-il une caméra au dessus de mon lit? Ceci  s'ajoute aux provocations régulières sous forme de réflexions ditent dans mon dos ou de face et de rumeurs et diffamations diverses répandu sur le lieu de travail.

J'en profite pour dire qu'il me semble navrant qu'après 50 ans de bataille contre le sovietisme où  l'un des arguments principal était la surveillance continue de la population et les privations de liberté qui en découlent, un citoyen moyen comme moi se retrouve dans une telle situation.