jeudi 20 juillet 2017

Site Pole Emploi

Le site de pole emploi n'a pas de bug. La preuve: il n'y a pas de lien permettant de les signaler!
Je reçois une convocation pour le 25/7/2017. Je contact Pole Emploi pour informer que j'ai repris un travail saisonnier. Je reçois un courriers m'informant de  l'annulation du rendez vous. Pourtant le rendez vous reste inscrit dans l'agenda.
De plus j'ai du demander à un conseillé de pole emploi pour récupérer des codes correspondant à mon expérience et m'en servir pour créer des abonnement à des offres d'emploi. Je dois ajouter que je trouve que ces codes sont très difficiles à trouver et qu'ils sont pourtant le meilleurs outils pour rechercher des offres.
Finalement je ne reçois plus mes courriels depuis un certain temps. Après vérification Gmail ne parvient plus à récupérer les mails sur le site de Laposte.net. Probablement la poste ne veut plus que cela arrive. Je modifie donc mon adresse email dans le site de pole-emploie. Malheureusement la page de mise à jour détecte une erreur au  niveau de l'adresse postale physique que je n'ai pas modifiée et refuse donc l'ensemble des mise à jour y-compris l'adresse email. Pas moyen de supprimer l'erreur: c'est un bug. Je vais être obligé à nouveau d'aller voir un huissier de justice et de faire constater. Je trouvez cela inadmissible !

J'en profite pour rappeler qu'il n'y a pas une seule journée pendant la quelle j'entreprends une utilisation intensive de l'outil informatique (plus d'une heure) sans que je rencontre des problèmes graves du soit à des bug sur des sites d'importance nationale ou internationale ou des logiciels qui ont été payés. Em moyenne j'estime que le nombre d'heures perdu par mois  est en moyenne supérieure à huit.
  

mercredi 12 juillet 2017

Spolliation

Comment se fait-il que ayant donné  mon adresse courriel de Laposte, AMELI.FR ne m'a pas informé de l'attente d'un message important qui peux aboutir à une perte de droit?

Depuis mon arrivée en Bretagne j'ai remarqué à plusieurs reprises que des agents de l'état au sein des différentes administrations Bretonnes  ont tenté à plusieurs reprises et parfois réussit à ce qui pourrait être interprété par une spoliation d'une partie de mes droits.

Je siterai en introduction ce que j'ai entendu au sein de l'association les Glénans: "je vous laisse seul juge"

-- Normalement pendant une formation AFR (1994-1996) qui devait durer trois années les indemnités journalières reste constantes. La deuxième année elle ont baissées de 25% à l'occasion de mon déménagement en Bretagne pendant la formation. J'estime le préjudice à 20.000 Francs.

-- Cette formation AFR était conçue officiellement pour me préparer à obtenir un brevet d'état voile. Je l'ai abandonné après deux ans. Des personnes  m'ont critiqué pour cette décision. Pourtant ces mêmes personnes ont reconnue que le contenu de la formation n'étais pas conforme à son but et en particulier qu'il n'était pas possible de s'améliorer suffisamment en encadrant principalement des stages 2 et 3 voiles pendant un an. Mon interprétation de ce qui s'est passé est que sous prétexte de m'aider et n'ayant pas le profile type du brevet d'état  ils ont adapté le contenu à leur propre besoin. Autant trouver un côté utile quand on est d'utilité publique! Cela permettait de remplir des stages puis d'en faire encadrer  là ou le besoin était le plus grand et l'intérêt de l'association. Le double avantage étant la non nécessité de rémunérer les encadrements de stages par des formations (4 semaines d'encadrement => une semaine de formation). De plus les stagiaires  AFR étant constamment dans l'association  ils étaient à la fois plus amarinés et avaient une meilleurs connaissance des sites de navigations par rapport à des "bénévoles" encadrant seulement une à quatre semaines par an. Je remercie vivement les ASSEDICS d'avoir accepté le dossier au nom des cotisant.

C'était mes premières années en Bretagne et je n'avais pas encore émis de critiques au sujet des traditions et coutumes locales et cela malgré un avertissement d'une personne du cru (cadre supérieur de son état).

-- Avec l'ANPE j'ai fait constater par huissier des "bug" sur le site qui auraient pu mener à une radiation.

-- au niveau médicale j'ai aussi quelque remarques: j'ai refusé une opération décidée par un chirurgien juste avant le rendez vous avec l'anesthésiste. Depuis je n'ai constaté aucun problèmes avec la partie qui aurait du être retirée.

-- j'ai aussi eu des analyses juste après une infection pour la détection du cancer de la prostate. Cancer non confirmé pas plus que l'adénome. Pourtant la présence de l'adénome est resté marqué dans le dossier du médecin traitant et diagnostiquéà nouveau  à la faveur d'une nouvelle infection.

-- tentative à l'hôpital de Quimper de faire passer un accident du travail en accident tout cour. J'envoie de multiples courriers. 

A cela il faut ajouter les relations avec les artisans, les syndicats et les partisans politiques au travail.
J'ai aussi des critiques concernant le fonctionnement de la justice.
J'estime aussi être victime d'atteinte à la vie privée.


lundi 3 juillet 2017

Interim

Je suis envoyé pour une mission de deux jours.
En double sur le poste pendant la formation.
Un collègue vient et parle à mon formateur:
"Si tu veux, tu peux lui demander de t'en tailler une!"
Je réfléchis un moment puis, étant donné mon expérience du harcèlement depuis 20 ans je dis à mon formateur:
"Tu peux dire à ton collègue que s' il veut je peux aussi l’enculer".
Le formateur me dit qu'il est lui même "Pd" et va voir son collègue:
"Il a tout entendu ce que tu as dit."
Le travail  est finit une heure et demis avant la fin. La qualité du travail me semble limite. Nous avons ordre de sortir ensemble et d'attendre la fin officielle du travail dans le réfectoire. Etant donné l'attitude des collègues je retourne dans le vestiaire et m'allonge sur un banc. Des employés arrivent pour prendre le travail et insistent lourdement en me voyant me reposer allongé:
"Le corps humain n'est pas fait pour travailler la nuit!"
Un manière de me dire que je ne suis pas payé pour dormir.
Je finis par sortir une réflexion désagréable sur les autochtones.
Le vendredi soir le formateur me dit "ok pour lundi ont te garde".
Je laisse mes affaires dans le vestiaire.
Lundi matin je reçoit un coup de fil de l'agence d’intérim:"Votre mission est terminé la personne que vous remplacez est revenue d'arrêt maladie.
Quelque jours plus tard je croise une cliente à la caisse d'un super-marché:
"Il ne sait pas les faire!"
Manque d'expérience je suppose! J'ajouterai que c'est idem avec la sodomie!
C'est dommage d'ailleurs cars si je savais comment les faire je pourrais faire l'initiation de jeunes filles, ce qui correspond plus à mes affinités. 
J'informe  la boite d'intérim: "Je ne sais pas si je suis fiché homosexuel chez vous, mais j'aimerais que vous évitiez de m'envoyer dans des services à majorité homosexuelle ou dirigé par un homosexuel. J'ai déjà eu de trop nombreux  problèmes à ce sujet".

Nouvelle mission d'un jour dans un autre entreprise.
Cela ce passe pas trop mal mais on m'avertit au vestiaires: "Vous ne serez pas gardé".
J'obtient une nouvelle mission de trois jours en début de semaine.
Le lundi j'arrive légèrement malade. J'ai  peut être  mal géré l'alternance du froid des frigos et du chaud de la canicule. Je préviens le chef que je suis pas bien mais que j'espère pouvoir faire le boulot. J'arrive à finir mon lundi malgré tout. Un de mes collègues jeune et beau me dit: " Tu pourrais sortir avec moi si tu veux". Le travail qui peut être très dur physiquement, n'est pas très intense en ce moment. On  alterne de cours  moments très intense et des moments de calme relatif.  A un moment je me suis adossé à une surface verticale pour détendre mon dos. Un cariste monte  me voir et m’engueule: ce n'est pas le moment de me reposer.  Je lui répond que j'ai besoin de détendre mon dos. En pause je retombe sur lui, il habite pas très loin de chez moi et je lui demande son nom. Il refuse de répondre et je lui dit que de tout façon je peux le trouver sur sa boite au lettre. Il répond que je vais me faire casser la gueule.
Mardi matin je me lève malade et je vais voir le médecin: "39 de fièvre, antibiotique. Arrêt maladie  jusqu'à la fin  de la semaine".
J'envoie tous les dossiers à l'employeur et au CPAM.

Quelque semaine plus tard je reçoit un courrier du CPAM: je dois fournir une attestation de salaire employeur. L'agence d’intérim après m'avoir demandé si j'ai bien envoyé l'arrêt de travail me dit que tout est déjà partis directement au CPAM. Je réponds: "pourquoi le CPAM me demande-t-il ce document si c'est vous qui devez le fournir? L'agence répond: "il y a du y avoir croisement des courrier". Plus tard je reçoit un nouvel appel de l'agence elle n'a pas envoyé le courrier car elle a confondu mon nom avec un autre (il serait bon de vérifier!). Je lui dis : "très bien, envoyez moi l'attestation alors" mais elle refuse ce n'est pas cela dont le CPAM a besoin. Le courrier est pourtant très clair: si je travail j'envoie une attestation si je suis au chômage j''envoie d'autres documents.
Après appel du CPAM j'obtient un rendez vous à Quimperlé (90km allez retour une demi heure avec un agent d’accueil). Le coût total des frais, à mon avis dépasse le montant des indemnités que je vais recevoir  alors que l'intégralité des informations que l'on me demande se trouve dans les ordinateurs des différentes agences.
J'ajoute que tout au long de ma carrière j'ai eu assez peux d'arrêt de travail malgré un dossier médical chargé.