Lorsqu'on ma demandé ce qui s'était passé j'ai expliqué que je courais. Mais il est vrai que je ne cours pratiquement plus. La course étant un élément en ma faveur le juge me fait remarquer qu'il est malencontreux que je me remette à courir juste à ce moment et donc qu'il est probable que cela soit un mensonge. Je ne pensais pas que cette partie de ma déposition serait remis en cause. De plus comment aurais-je pu rattraper les promeneurs si je n'avais pas courru? A mon avis la partie adverse doit savoir que cela n'est pas un mensonge en tout cas ils ne sont pas très claire. Mois je l'ai toujours été sur ce point. Je veux donc expliquer pourquoi ce jour là faisait partis des jours ou j'ai essayé de recommencer à courir parfois à mis chemin de la marche et de la course. Depuis plusieurs années j'ai essayé de reprende mais à chaque fois un obstacle s'est mis dans mon chemin. J'ai d'abord eu des problèmes de dos avec deux sciatiques à droite puis une à gauche. Juste après ce fameux accident qui est considéré comme une agression j'ai eu une cruragite après avoir décidé qu'il était plus prudent de rester chez moi et faire du rameur. Il faut aussi prendre en compte les problémes infectieux de prostates avec environ 4 rechutes. De plus de mi-mai à mi-août j'ai de l'asthme à cause du rhume des foins. Le mois d'aout est le mois propice pour démarrer l'entrainement et perdre un peu de poids. Le fait que je recommence et ne soit plus entrainé est bien en faveur de l'apparition d'un accident auquel il faut ajouter l'énervement et la fatigue nerveuse liée au travail de nuit et au harcelement. Il est difficile de ressortir une telle explication dans un dialogue. L'avocat aurait peut-être du -lors de la préparation- marquer les arguments et compléter le témoiniage après l'intérogatoire. S'il avait été convaincu.
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