mercredi 30 octobre 2013

le harcellement quotidien

Je sais que ce journal n'ai pas très varié ni très amusant à lire mais il est destiné à informer toute personne le désirant sur ma vision de ma situation en bretagne.

Aujourd'hui donc je suis allé faire les courses, j'arrive sur le parking qui est presque vide et au moins quatre véhicules sont arrivé jusqu'à ce que je reparte. Bien sur tous ne me sont pas destinés.
Inventaire:
-- caissière: "il faut continuer, il y a longtemps qu'il aurait retrouvé, vous serez condamné". (je précise que je travaille de nuit).
-- cliente "vous vous êtes amélioré" (je viens d'envoyer un mail  en mauvais anglais). 
-- clients avec sa fille 18 ans :"il est fou", puis tu lui plais" (je ne l'ai pratiquement pas regardé).
-- autre cliente: "vous vous conduisez normalement" (sous entendu vous n'avez pas l'air fou).
-- autre cliente avec ses enfants: "vous êtes beau". 
-- client sur la parking: "vous n'avez pas recommencé".

Lorsque j'ai parlé avec un psychiatre de cette situation il a commenté en disant que j'interprétai de manière très négative le comportement des gens à mon égard ou que cette interprétation est  le fruit d'hallucinations. Je dois préciser qu'il est possible que ce psychiatre soit aussi Breton. Je suis traité au travail de la même manière et même pire puisque il est aussi possible de faire de l'obstruction. Recement après 1 semaine d'arrêt de travail pour gripe (que j'ai essayé d'éviter) je me suis retrouvé -encore en convalescence- en surcharge sur mon poste, poste que j'ai jusqu' à présent exucté seul mais que j'ai vu exécuté par deux personnes à plusieurs reprises. Des gens sont intervenus semble-t-il pour corriger l'anomalie. Un collègue me dit: "S'il s'est touché c'est qu'il n'est pas fatigué!!!!...." (Encore un perroquet!). Quand j'ai envie, je me touche même si je suis malade. Mais comment sait-il que je me suis touché? Il y a -t-il une caméra au dessus de mon lit? Ceci  s'ajoute aux provocations régulières sous forme de réflexions ditent dans mon dos ou de face et de rumeurs et diffamations diverses répandu sur le lieu de travail.

J'en profite pour dire qu'il me semble navrant qu'après 50 ans de bataille contre le sovietisme où  l'un des arguments principal était la surveillance continue de la population et les privations de liberté qui en découlent, un citoyen moyen comme moi se retrouve dans une telle situation. 

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