vendredi 9 septembre 2011

Nouvelle vague de harcellement;

Aujourd'hui environ une vingtaine de personnes qui m'importune en faisaint des reflexions lorsque je passe à côté. Cela dépasse largement la fourchette habituelle. Cinq personnes est une moyenne habituelle, quinze est la frouchette haute pour Scaër. Quel évenement a-t-il eu lieu justifiant une nouvelle vague d'agression?
J'ai remarqué ausi depuis 15 jours un nombre anormal d'offre envoyées par l'ANPE et les boites d'interim.
Aujourd'hui je suis en poste à quasi plein temps. De quel droit ces gens relancent le harcellement?
Liste de morceaux choisis:
"Il faut contiuer"
"Il aurait retrouvé"
" Ils ont un AS400"
"Bosser comme ouvrier avec un CV comme ça il faut être fou"
"Vous faites trop de math" (Cà c'est une première...... mais lui (celui qui me fait chier) il aurait peur-etre perdu son emploie s'il avait cessé de coucher avec la patronne."
"Il ne trouvera plus"
"Je vous fais monter" (il faut alterner les sens des caresses)
"Il est très poli... il faut continuer"' (une fois que j'ai tourné le dos)
 ................
C'est dur d'avoir à se rappeller lorqu' on essaye justement d'ignorer les agressions  pour éviter de ce comporter violement.
Certaine personne ont parlé de folie collective.

dimanche 4 septembre 2011

La défence du consomateur.

C'est drôle: depuis que j'ai posté ce message  sur ma consomation électrique je suis revenue à celle que j'avais lorsque je suis arrivé dans mon logement en 1997.
J'avais repéré une pointe de consomation inatendue!
Bien sur il se pourrait que j'ai supprimé un ou plusieurs appareils genre onduleur qui consomaient beaucoup.
J'avais un onduleur qui consomait à vide environ 45W sur une journée cela fait 1Kwh.
Sur un an, 1W par heure cela fait environ 1.2 euros par an.
Donc 45W en continue sur un an coute environ 50€ par an!
Mais si cet écart de consomation (en été 4.5 Kwh au lieu de 8Kwh) était du à une erreur administrative alors j'aurais été surfacturé d'environ 100% sur une periode de  15  ans (3750€).
Avec un budget d'environ 500€ par ans c'est un de mes plus gros poste de frais fixe.
Je pense qu'il est devenu necessaire d'avoir des moyens alternatif de controle détaillé de la consomation et de ne pas choisir des compteurs fournis par celui qui facture.
Et ceci pour l'éléctricité, le télépnone  (y compris portable), ainsi que les données numériques.

mercredi 10 août 2011

Mardi 9 aout 2011.

Encore une belle journée!
Rosporden.
Premier magasin : 3 personnes ("Il était trop sale"  on me site la source: DDSV).
Deuxième: magasin une employé une cliente. ("Je me suis renseigné auprès d'un psychologue: on l'ai tous").
Troisime magasin: la cassière "Je l'ai téléchargé:vous êtes une nullité".
Laverie: Coup de chance des machines sont en pannes, j'arrive à passer la pluspart du temps tranquille. Mais un arrive quand même à placer "vous êtes beau".
J'aurais du ajouter oui mais en plus je suis riche, intelligent et cultivé. Et je fais bien l'amour!
Quatrième magasin: Tout se passe bien au début puis un ("je vais les appellerer") pourquoi ? Je n'en sais rien.
Scaer:
Ciquième magasin: C'est la queue à la caisse. Ils en ouvre une autre. Ceux qui sont derière moi se précipitent. Reflexion du caissier: "Il a le temps". C'est vrai qu'il est rare qu'ils n'éssayent pas de provoquer un incident destiné à me retarder. Plus il perd du temps mieux c'est. Ces gens ne savent pas que je travaille la nuit? Ca ne colle pas avec l'image qu'ils ont de mon personnage. Autrre reflexion à cette caisse "Il était trop lent" à rajouter à la longue liste des "Il était trop null, Il était très doué......ect".
Moi je pense qu'ils me suivent à la trace. Parceque lorsque par hazard on me laisse tranquil cela ne dure pas longtemps!


Alienation.

Toujours la technique du commentaire glissé dans la conversation.


Le chef qui passe et dit "on te prends! ".
C'est bizard j'avais déjà l'impression de travailler pour une entreprise. Quesqu'il a voulu dire?
Si je pose la question je n'aurais pas de réponse.


Le collègue: "Tous ces copains sont devenus chef de projet".
Je réfléchis puis une fois en vestiaire je réponds: "il faut mieux être un bon ouvrier qu'un mauvais chef de projet et je dirais même plus il faut même mieux être un mauvais ouvrier qu'un mauvais chef de projet". Je ne crois pas qu'il a compris. Vat-il seulement essayer de comprendre? C'est peut-être seulement pour me faire chiez.

Je rentre au vestiaire et j'ai droit comme à la maison paternelle au : "Il faut continuer".

Il est certains que lorsqu'on obtient des résultats aussi probant: je viens juste de signer ma déclaration d'impôt. 1000 euros assedic 9000 de salaire. Non imposable. C'est  vrai il faut continuer. Comme cela on pourrait éventuellement   payer une  pension pour aliénation mentale. Je crois qu'ils ont résussit avec mon cousin.

Perséverance. Travail assidut. Regularité. Cela finit toujours par payer.

J'ai oublié de parler de la pharmacie et aussi du medecin. C'est partout pareil. Plus moyen d'avoir une relation normale avec des personnes. Il faut toujours dans un sens ou dans un autre que l'on me gratifie de commentaires mal venus. Même les gens qui prennent ma défence finissent par me faire chiez.

En plus ces gens voudrait que je sois polis alors que la seule chose qui me vienne à l'esprit c'est : "Comment vais-je  réussir à terminer la journée sans en tuer un?


mardi 9 août 2011

Nicknames

I have got several.
In Hobart it was "Gaston". A famous french comic's hero.
In AGI it was "Rambo". A famous potato. Everybody knows him.
In Bretagne it has been for a while "Tsetse" like the fly.
Next : Chuck Norris.
Next: "I need sugar" like in Men n Black (the first one).
I suppose they choose the last one because I have a lot of admiration for this film.
Of course it's a film for teenager. But I like everything.
Script (a good rhythm, humor, poesie)
Photos (style and color)
Special effects.
Music. Actors.
A great film indeed.

dimanche 7 août 2011

La solidarité.

Je pensais avoir un problème particulier avec les Bretons et particulièrement avec des gens de gauche ou des syndicats.  Après se petit voyage, il semble que même des membres du grand capital aient décidé de me faire chier. 
J'ai cru entendre :" Il faut continuer". Déjà entendu de nombreuses fois même à l'intérieur des usines. Moi j'interprete une  telle phrase par "Il faut continuer...... à le harceller".
Il faut quand même être prudent parceque j'ai parfois des hallucinations dues peût-être au fait que de nombreuses personnes parlent sur moi lorsqu'elles sont à côté ou même attendent que je m'exprime pour lancer des commentaires sur ma personne. 
Vue la personalité du type je ne serait pas étonné qu'il fasse parti du de ces tourneurs de tables, ou de ces observateurs de pendules en fin de cette communauté qui aspire à l'universalité mais qui semble en majorité preférer la communauté des hommes à çelles des femmes pour décider et éxercer la  solidarité.
Si je suis attaqué par eux alors je ne me gênerai pas de dire ce que je penses y compris ce qui est le plus gênant.
S'il ont me juge et s'il ont me condamne. Il faudrait - comme l'a décidé la majorité des sociétés humaines - exposer clairement les griefs en en parler avec l'accusé. 
Maintenant je me demande s'ils ont decidés aussi d'appliquer la sentance. Ce qui expliquerait le genre de commentaire que j'ai entendu  de temps à autre: "Vous sortez juste de prison vous aller y retourner". 
Prison "virtuelle"  je suppose.
Comment ces gens peuvent-ils s'attendre à une attitude polie de ma part?
J'aurais peut-être du y entrer, par pragmatisme, comme cela j'aurais pu contrer d'éventuelle attaques et même utiliser les même méthodes pour régler des comptes.
Mais je n'ai pas ce genre de personalité. Je ne suis pas du genre à passer mon temps à comploter.


mercredi 27 juillet 2011

La folie.

Il faut bien avouer qu'ils existent de nombreuses méthodes pour rendre les gens fous et leur faire perdre tous leur repères.
J'en ai fait moi même l'expérience.
Ce que j'ai remarqué c'est l'utilisation d'interventions  contradictoires comme par exemple des remarques sur vos qualités et débouchant sur  "il va se faire virer" suivit par "il va monter".
Une fois même, un cadre m'a fait cette réflexion: "il n'y a que les types entrainés qui resistent à ce type de traitement".  Il semblait être supris que je fasse encore mon travail avec serieux, au lieu de voler ou démissionner. A ses yeux c'est peut-être ce qu'une personne normale aurait fait à ma place. D'ailleur un collègue ne tarda pas à démissioner.
J'ai pour habitude de penser lorqu'ils font circuler la rumeur que je vais monter- : "mais quelle stratagème vont-ils trouver  pour me faire lourder?".
Lorsqu'ils sont bien organisés vous y avez droit non seulement au travail, mais aussi en faisant les courses  et dans les cas les plus sophistiqués, lorsque vous parlez au téléphone, lorsque vous écoutez la radio ou même lorsque vous visualisez un DVD: tout d'un coup vous basculez dans l'hyper-espace!
L'essentiel c'est de vous déstructurer. La même personne vous ayant défendu un jour  reprend en sens inverser l'instant d'après. Plus d'amis, plus d'enemis plus de famille ; qu'une  folie qui vous guette parceque cela serait extrèmement couteux de vérifier ce qui ce passe vraiment et que vous ne pouvez plus faire confiance à votre entourage.
C'est du Kafka moderne, de la torture  béneficiant de tous les avantages du progrès  et il faut bien constater que cela peut arriver n'importe où.
Finallement je ne suis pas étonné par les actes fous  commis par ce Norvégien.
De tels actes auront aussi lieu chez nous, parceque l'oeuf du serpent est toujours parmis nous.