jeudi 30 mars 2023

Nouvelles nouvelles du front

"Il faut le casser".

"Ils vont l'arrêter".

"J'ai vu les filmes qu'il a téléchargé: c'est immonde".

"Je vais me faire vider"

"Je n'arriverais pas à le ralentir".

"Vous nous avez plagié". "Il faut mieux ne pas le toucher, il est bien vu ". (direction)

"Il était temps qu'il arrive" puis un jour après "Vous êtes malade".

"Ils risquent de supprimer la franchise".

Refus de répondre au formules politesse.

"Vous avez du culot de venir travailler chez nous après ce que vous avez dit sur nous".

"Il sera immédiatement tué s'il le fait".

"Ces genoux ne sont pas abîmés, il fait du vélo". 

"Il ne veut pas travailler".

"Vous ne serez pas gardé".

"J'ai mis sa publication off line".

"Je ne vais plus aux toilettes depuis qu'il les fait".

"Il n'en fait plus partie:Je n'aurais jamais dû l'intégrer dans cette unité, ils est en trop mauvaise santé, il n'aurait pas pu porter".

Tout cela ressemble fort à du harcèlement de groupe en vue de provoquer une faute en particulier provoquer un comportement violent.

Je dirais même que -pour moi- cela ressemble à du crime organisé.

mardi 28 mars 2023

Secret.

J'aurais peut être pu deviner. 

Mais un soupçon n'est pas une preuve.

Était-il de mon intérêt de chercher la vérité?

Nouvelles du front.

 Des hallus en pagailles:

"Il aurait retrouvé du travail, vous l'entubez".

"C'est votre dernière journé, je vous vide".

"Il faut que vous fassiez attention à ce que vous disez ...on vous a enregistré ....les micros sont très sensibles....: vous n'avez pas le droit de le menacer de licenciement."

"Je ne savais pas qu'il est handicapé."

"Son père se foutait de lui, il lui disait n'importe quoi".

Cela provoque un rappel d'autres hallus ces derniers jours.

"Je me suis trompé, il est trop lent, j'en veux plus".

"On c'est fait baisé par son père, il a "oublié" de nous dire qu'il est handicapé".

"Vous foutez de nous, vous avec un niveau chef de projet"

(De projets en échec pour l'instant!).

"Vous avez un niveau Doctorat". 

(C'est peut-être en rapport avec mon ambition démesurée!) 

vendredi 3 mars 2023

CPAM

Agirc/arco

Suite à mon appel téléphonique avec l'Agirc 

J'apprends que je dois signer la reconstitution de carrière même si elle est incomplète: il manque 2022. La  conseillère me dit qu'une autre reconstitution corrigée me sera envoyée.

Je dois aussi signer un document m'informant que 10% seront enlevés si je n'attends un certain délai avant de bénéficier de ma retraite complémentaire.

Comme j'avais déjà eu des problèmes pour leur envoyer électroniquement les justificatifs concernant certaines partie de ma carrière, j'avais tout envoyé par la poste. Je leur demande s'ils  ont reçu   ma demande de dispense de prélèvement de différentes cotisations: non. N'ayant pas la possibilité d'envoyer les document par téléchargement et comme lorsque je les envois par la postes certains documents ne semblent pas avoir été pris en compte je pense que je vais devoir faire plusieurs envois en  recommandé avec AR. 


lundi 27 février 2023

Agirc/Arco: encore des problèmes à résoudre.

On me demande de valider ma reconstitution de carrière alors que le dernier document que j'ai trouvé ne comporte pas l'année 2023. De plus on me de demande d'être le plus détaillé possible mais on limite la taille du message à 450 caractères. Ce n'est pas le seul problème sur le site ou je remarque des différences concernant la liste des documents échangés pour le traitement en cours et dans l'espace personnel. Je n'est pas trouvé dans mon espace personnel trace du dossier papier que j'ai envoyé à l'AGIRC. Ce qui fait que je fais perdre du temps au téléphone à la conseillère.

De plus j'informe l'AGIRC qu'il subsiste encore un contentieux concernant une période d'environ un à deux ans juste après mon service militaire. Période pour laquelle je n'ai pu fournir un justificatif. On m'a demandé une déclaration sur l'honneur qui n'a pas été acceptée. Je suis sur de mon côté d'avoir bénéficié pendant environ un an et probablement plus d'une prise en charge par les ASSEDIC de Paris. Droit dont j'avais été informé par les Service des armés à ma libération et dont j'ai pleinement bénéficié. J'ajoute aussi que j'ai passé un mois à l'hôpital militaire juste après avoir reçu la vaccination règlementaire pendant l'incorporation. J'ai bien failli être réformé. J'ajoute aussi que  le médecin au trois jours m'avait demandé si je voulais consulter un psychiatre. Je suppose, une chance donnée pour permettre mon exemption.