Je fais ma promenade journalière à pieds. Je croise un groupe en train de faire du bois. Le fils m'aperçois et parle à son père: "Ca sera comme ça jusqu'à ce qu'il se tire". La dernière fois que je l'avais croisé c'était: "Il est accro aux chattes" ( ce qui suppose une surveillance étroite ). En ce moment une grande partie des gens que je croise en marchant se comportent de cette façon.
On m'avait prévenu au tout début (1998) du but recherché: "Ils veulent ta maison". D'ailleurs ils ont eut la maison de la personne qui m'avait prévenue. Mais cela ne leur suffit pas. J'ai un peux mieux résisté. Remarquez que j'ai failli y passer à plusieurs reprises en me faisant bloquer par un transpalette électrique chargé ou un chariot élévateur.
Au travail j'étais tombé sur un type de ce genre. Au début il était bienveillant comme si je faisais partie de la famille: "J'étais pas bien vu par la direction dans mon précédent travail parce que je favorisais trop les chauffeurs". Il passait souvent au café du coins pendant les heures de travail pour officiellement "picoler" (une équipe bien formée n'a pas besoin de chef en permanence!). Il fait partis des ces gens qui peuvent faire beaucoup de dégâts grâce à leur contacts étroits et simultanés dans plusieurs communautés: "Homosexuels, syndicats, services de renseignements et peut être aussi partis politiques".
Plus les difficulté économiques augmentent plus la criminalité augmente. Cela procure bien sur le petit plus concurrentiel.
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