lundi 18 avril 2022

Hallucinations

J'ai déjà parlé à plusieurs reprises de ces problèmes "d'hallucinations". Entre guillemet, car j'ai beaucoup de mal à croire qu'elles sont vraiment des hallucinations. 

Car il semble désormais possible que la technologie puisse agir à distance directement sur le cerveau  de manière purement "électronique" c'est à dire par des ondes électromagnétique ou des courants en ajoutant peut-être d'autre moyen comme l'intoxication mentale ou une sorte de préparation. Mais alors, il est encore  difficile de comprendre pourquoi des technologies pas encore disponibles aux grand publique sont utilisées avec moi. Il faut des sous, et avoir le goût du risque pour le faire. Je me fais mon propre film genre "l'Œuf du serpent". Cela correspond à ce que je disais une fois à mon père: Si on veut savoir ce qu'ils font chez nous il suffit de savoir ce qu'ils accusent les autres de faire.

Aujourd'hui la maladie semble encore la meilleur explication et c'est peut-être la raison pour laquelle ils comptent sur mon silence. Et cela dur depuis plus de vingt ans en gardant une certaine stabilité, c'est à dire en permettant -à mon avis-  un vie suffisamment normale pour éviter les médicaments ou l'internement. Je me "soigne" en coupant la radio (discussions)  ou je met de la musique pour me divertir. Parfois surgit la tentation de tout couper et de vivre dans une maison sans électronique. 

J'entends:

"Il faut que tu fasses attention à ce que tu dis même lorsque tu parles seul chez toi".

Je l'ai déjà dit auparavant: ce qui se passe dans mon espace privé ainsi que dans l'espace publique ressemble fortement  à de la manipulation:

  • on brouilles les pistes en cherchant à attribuer l'origine des agressions à différents groupe. Parfois dans un même instant.
  • on alterne les menaces et les propos rassurant, les bons et les mauvais conseils. 
  • on donne la preuve d'une surveillance rapprochée (détails de l'intimité et de la vie privée).
Il semble bien qu'il n'y ait aucune limite à ce qui peut être fait. Le seul problème qui subsiste est  de savoir si c'était  nécessaire et s'il n'y avait pas d'autre solution.

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