Don du sang. Recopie d'un arcticle du 9 février 2022 et ajout d'un complément le 19 mai 2022.

J'arrive au guichet pour m'enregistrer: "J'ai rendez vous à 12h05"

Pendant l'enregistrement alors qu'il est marqué dans leur fichier que j'ai déjà donné plusieurs fois il me demande si c'est la première fois. Puis à nouveau la questions  sur l'âge, l'adresse le numéro de téléphone. Je comprends qu'il faille prendre des précautions mais cela devient un peux trop lourd. Je lui rappelle que j'ai été remercié par le ministères pour mes dons.

Mais surtout c'est le harcèlement sous forme de murmure à aux moins quatre reprises: "Vous êtes fou". Je me demande si le secrétaire n'est pas homosexuel. Cela correspond tout à fait à ce qu'ils me font subir depuis plusieurs années.

A chaque fois que je me suis présenté à ce guichet, j'ai eu droit d'une manière ou d'une autre à des comportements de ce type.

Je passe devant le médecin et tout ce passe bien, mieux qu'aux derniers don ou le médecin avait lourdement insisté sur le fait que mon sang pouvait être utilisé par des enfants. 

Puis le don. Elle enfonce l'aiguille mais le sang ne sort pas.  Une autre infirmière arrive à la rescousse. Au bout d'un certain temps elle décide d'enfoncer plus profond. J'ai fait plus de 10 dons et jamais je n'ai eu un tel problème. Bon c'est un coup de malchance ........ mais alors pourquoi j'ai eu exactement le même problème lorsque je suis venu la dernière fois dans cet hôpital aux urgences. Un interne pique le genoux pour un prélèvement mais exactement le même problème : rien ne sort. Nouvelle piqure par le médecin cette fois. Rien ne sort.

Deux fois coup sur coup, ce n'est plus  de la malchance. 

Puis pendant que le sang enfin s'écoule, la belle infirmière murmure elle aussi: "Il a mis juste un doigt". Encore une tactique qui a été employée pendant les précédents  dons. 

Franchement ces deux personnes feraient mieux de changer de métier et de quitter le domaine médical.

S'ils ne veulent pas de mon sang qu'ils l'écrivent. Mais ils n'en n'ont pas le courage. Ils préfèrent utiliser des moyens détournés.

A partir du moment ou les professionnels de santé ont alertés les responsables et la police si ils veulent, ils doivent opérer normalement. Ils ont eut plusieurs jours pour préparer ce don. Dès que le médecin donne le ok pour le don  ils devraient à mon avis faire abstraction de leur jugement morale pour opérer. C'est si j'ai bien compris le BA BA de la profession.

Maintenant ils peuvent toujours mettre le sang de côté, re-évaluer l'opportunité du don  et m'aviser si nécessaire. Mais en aucun cas augmenter les risques liés au stress provoqué par une telle situation. J'ai d'ailleurs autorisé plusieurs types d'utilisation du sang dans la papier que j'ai signé.

Je le rappelle je n'ai pas eu de relation sexuel au sens large avec une autre personne depuis 1996. La manière dont j'ai été traité plus d'autres facteurs ne m'y ont pas encouragé. Depuis 1996, pour mes besoins sexuel j'utilise uniquement internet. 

Mais il m'arrive de caresser (uniquement) des chats, des chiens et parfois des chevaux. J'ai même essayé avec un coléoptère! En fin de compte, c'est avec les mouches que j'ai le plus de succès...

La suite :

2022/05/18 coup de téléphone :

--Monsieur Dechico on a besoin de votre sang!

-- Oui ok quand puis-je me présenter?

-- Demain 13h50

Je me présente. Questionnaire. Choix du bras. Pickage. Au bout d'un certain temps l'infirmière contrôle la sacoche de sang et commence à bouger l'aiguille dans mon bras. Ca fait moins mal d'ailleurs après mais le sang ne coule toujours pas.

-- " Vous avez un problème"?

-- "Le sang ne coule plus. On a seulement 60 ml. Il y a peut être eu coagulation.

Arrêt du prélèvement. Un aller retour de 80km inutile et plusieurs heures perdues.

Je peux comprendre qu'il y ait des incidents médicaux mais c'est le deuxième consécutif. Il ya a peut-être un problème de matériel ou de compétence du personnel. 

Mais d'autres indices m'indiquent que c'est peut-être encore un problème d'obstruction. Lors de mon interrogatoire écrit on me demande si je prends des médicaments et j'ai répondu oui. Je prends en effet régulièrement de l'aspirine. Mais le médecin lors de l'interrogatoire oral ne me demande pas de préciser quel médicament je prends. Je peux donc supposer que le médecin a pris la décision de ne pas faire le prélèvement au cours de l'interrogatoire. Mais ne pouvant pas donner officiellement la véritable raison il est possible qu'il ait décidé d'en informer uniquement l'infirmière après s'être mis d'accord avec elle et les autres. Il aurait été plus discret de laisser finir le prélèvement!

Encore un point de plus pointant vers cet hôpital au sujet de l'égalité des soins et du respect de la législation. 

Je suis certain qu'il sont persuadé de faire une bonne action. 

Aujourd'hui nous avons sauvé un patient!

paranoia

To get ride of somebody you have to demonstrate he is a bad person.

But why should they get ride of me? 

I don't really know. 

They are several possible reasons:

-- I might publish something valuable again it in the public domain (I don't have any serious clue about the value of what I have published this but it seems that some people believes it has some value).

-- He talked, put some people on risks and must be punished.

What could be the tactic used to demonstrate I am really a bad person?

-- Demonstrate he is an active pedophile by systematically encouraging young people to have sexual intercours with him.

-- Demonstrate he is a pervert and that he can not give  blood by and encouraging people -known for practicing sodomy- to contact him.

-- Demonstrate he is a violent and dangerous man  by encouraging him to be violent (diffamation, threats, stealing, invasion of privacy, harassment, obstruction ....)

Maître Zayer

Commentaire sur Google

Hallucinations

J'ai déjà parlé à plusieurs reprises de ces problèmes "d'hallucinations". Entre guillemet, car j'ai beaucoup de mal à croire qu'elles sont vraiment des hallucinations. 

Car il semble désormais possible que la technologie puisse agir à distance directement sur le cerveau  de manière purement "électronique" c'est à dire par des ondes électromagnétique ou des courants en ajoutant peut-être d'autre moyen comme l'intoxication mentale ou une sorte de préparation. Mais alors, il est encore  difficile de comprendre pourquoi des technologies pas encore disponibles aux grand publique sont utilisées avec moi. Il faut des sous, et avoir le goût du risque pour le faire. Je me fais mon propre film genre "l'Œuf du serpent". Cela correspond à ce que je disais une fois à mon père: Si on veut savoir ce qu'ils font chez nous il suffit de savoir ce qu'ils accusent les autres de faire.

Aujourd'hui la maladie semble encore la meilleur explication et c'est peut-être la raison pour laquelle ils comptent sur mon silence. Et cela dur depuis plus de vingt ans en gardant une certaine stabilité, c'est à dire en permettant -à mon avis-  un vie suffisamment normale pour éviter les médicaments ou l'internement. Je me "soigne" en coupant la radio (discussions)  ou je met de la musique pour me divertir. Parfois surgit la tentation de tout couper et de vivre dans une maison sans électronique. 

J'entends:

"Il faut que tu fasses attention à ce que tu dis même lorsque tu parles seul chez toi".

Je l'ai déjà dit auparavant: ce qui se passe dans mon espace privé ainsi que dans l'espace publique ressemble fortement  à de la manipulation:

• on brouilles les pistes en cherchant à attribuer l'origine des agressions à différents groupe. Parfois dans un même instant.
• on alterne les menaces et les propos rassurant, les bons et les mauvais conseils. 
• on donne la preuve d'une surveillance rapprochée (détails de l'intimité et de la vie privée).

Il semble bien qu'il n'y ait aucune limite à ce qui peut être fait. Le seul problème qui subsiste est  de savoir si c'était  nécessaire et s'il n'y avait pas d'autre solution.

Fioan Hill.

I have just watched an interview with her on Youtube and I like her.

She is much more charming than Putin!

I tried to watch my desk instead of the screen, but it was difficult to, because I couldn't  read the subtitle.

Did she -in the line of duty -  do any porn video?

No? She wasn't a field officer?

And Putin?

I know I am  being very provocative.  Some people I have passed by but who I don't know say: "The dispute is over. When he visited the country in 1992, the United States asked him  if he was a prostitute". (Giving the information that they were also opportunities for prostitutes there). 

It wasn't really the reason of the provocation. Appart of the fact that she was beautifully dressed in pink during the interview, I felt something when she touched the couch near her to show the place where Putin was sitting. At the same time she was looking toward  the camera  and I got the feeling she was inviting me to sit near her. Despite the fact that Putin has a lot of success with women much younger than him, I evidently don't want to take  his place.  But I felt like I could be the center of her attention. 

But the God of Internet said me I had no chance (hallucinations): "And he is paunchy!", "Mother-fucker!! I will have to protect him!" or "This is true, I shouldn't have smiled so much while speaking about such a subject" or "If you want I can ask Google to remove the post "(with a french accent). I hope everything is just an illusion.

But still, I felt like she was rehearsing with her companion and giving us the best she could  before the interview with the President.

Mauvaises Nouvelles.

• "Quoi Dechico! Quelle connerie il a encore fait?"
• "Non, non, Il est sage comme une image ..... en plus il a donné au HCR et même à la Croix Rouge!"
• "Comment il fait avec ce qu'il gagne?"
• " Y fait les poubelles."
• "Faux qu'il fasse gaffe, il risque d'attraper des saloperies."
• "Ca va, il est conseillé par un spécialiste: 60 ans d'expérience ..... internationale. Mais, j'ai peur qu'ils se fasse entuber par une Ukrainienne!" "
• "Bon vous pouvez l'aider."
• "C'est bien ce que j'espérais. Il faudrait lui en trouver une, il  l'aire d'êtres aux abois." 
• "Faux mieux lui en trouver une qui assure, une fonctionnaire du coin et de son âge!"
• "J'ai s'qui faut! 

...

....

.....

......

• "La pauvre..."

Très demandé!

C'est drôle il ne m'étais jamais arrivé de cumuler autant de demandes pour une même période:

Le vendredi appel par une agence d'intérim: 

• "Pouvez vous commencer  lundi à 5h du matin."
• "Bien sur".

Je n'ai pas de contrat  à signer.

Le samedi clarification par un autre employeur: 

• "Tu travaille lundi 4, 4 jours pour pour les élections." 
• "Je viens de m'engager pour une autre mission, ma boite d'intérim ne m'a pas prévenue et le contrat qu'ils viennent de me faire signer pour avril n'est valable que pour le travail le samedi, mais vous avez ma priorité: je n'ai pas signé le contrat pour l'autre mission". J'appelle les boites d'intérim qui sont fermées le samedi et laisse un message. 
• "Tu peux venir mardi pour 4 jours".
• "Je peux venir directement lundi, je n'ai pas signé de contrat de mission". Puis je réfléchis. Il faudrait mieux éviter de mettre l'autre boite d'intérim en difficulté. Même si je travail rarement avec eux,  ils ne semblent pas responsable de cette situation. Ca sent le coup fourré. Je risque de me retrouver sans aucune mission!

• "Ok je vais m'arranger avec l'autre et lui laisser le temps de trouver quelqu'un d'autre lundi".

Malgré de multiples appels aucune agence ne me recontacte pour régler le problème. Je consulte  le dimanche le site d'une des agences et voix un numéro de hotline 7/7. Mais c'est du pipo je peux juste laisser un message.

C'est quand même bizarre qu'un boite d'intérim pour laquelle je travail depuis plusieurs mois oublie de me prévenir pour une mission supplémentaire et que l'on me donne au dernier moment les dates.   

C'est en partie à cause de ce genre de problèmes que j'ai abandonné l'idée de faire carrière. On me l'a fait remarquer à plusieurs reprise: j'ai toujours été un con dans ce genre de combat car il est facile de m'entuber. D'autre disent il s'en fout. Il n'a pas d'ambition. Mais  c'est surtout du dégout!