vendredi 1 mai 2020

Decision médicale.

Je travaillais jusqu'à hier dans un  atelier de découpe le soir.
J'étais pratiquement assuré de travailler jusqu'à la fin du confinement.
"Vous êtes le candidat idéal, vous vivez seul".
Malheureusement le corps lache: les hanche se grippent  et je me met à marcher comme un manchot.
Je rentre et  me couche sans prendre de médocs.
Réveil deux heures plus tard avec des douleurs vives pour certains mouvements. Même pas possible de me tourner sur le côté sans déclencher un cri de douleur.
Ce coup-ci je prends du  paracetamol 500 mg puis je me recouche. A midi même topo, je reprends 1g.
Je préviens la boite d'intérim et le client. Je prends rendezvous chez le médecin.
A 16h 15 j'arrive dans la cours, me renseigne. J'entend une femme qui - en me voyant sortir de mon véhicule - dit: "Ca y est! On y est arrivé". Il semblerait donc que l'arrêt de travail était un objectif. J'attends - en écoutant de la musique dans mon véhicule - que le médecin sorte et vienne me chercher. Un patient d'environ 30 ans sort, me regarde et dit: "Vous allez être arrêté". J'ignore s'il parle du type d'arrêt dont il est question dans le film "Le professionnel". Quoiqu'il en soit ce n'est pas une bonne nouvelle. J'aurais pu bénéficier de deux jours de travail dont un jour férié, mon contrat "à la semaine" se finissant samedi. Je rentre et explique mon cas au docteur. Commentaires  à haute voix pendant l'auscultation: "Il se lave" puis "Il est trop gros". Touché de testicule. Un touché rectale aurait pu aussi être effectué à cause de problèmes anciens de prostate. Nouveau commentaire: "Il sait se controller". Remarquez que dans d'autres circonstances j'aurais aimé témoigner de mon admiration et jouer au docteur et à l'infirmière....mais j'avais besoin que tout le monde garde la tête froide! J'écope finalement d'une semaine d'arrêt et probablement  d'une radio ou d'un IRM  si cela ne s'arrange pas.

Je vais à la pharmacie et apprends que je peux continuer la prise de 75 mg d'aspirine conjointement au traitement codéine/paracetamol.

J'en profite pour aller faire mes courses en m'appuyant sur le cadis dans la grande surface juste à côté. Quelques réflexions lorsque je rentre: "Il l'avait prévue: 'ils vont se prendre un virus dans la gueule', et pendant la pandémie en chine 'je suis extrêmement inquiet' ". Cela fait partie de mon quotidien de  voir régulièrement des propos  tenus en privé - même quand je parle seul - me retourner. Cela dit en passant, j'ai aussi trouvé la réalisation de plans que j'avais jeté à la poubelle sur des bateaux de course. Ou encore mieux; une jeune femme m'a fait des commentaires d'un air dégoutté sur ce que contient mes poubelles: j'utilise un WC chimique et met à part le papier toilette usagé. A  l'entrée une employée me fait chiez  ( j'ai oublié ces propos ). Je la retrouve en caisse et je l'évite soigneusement. Puis après avoir déchargé mon cadis dans une autre file d'attente je la vois se radiner et prendre la place de la caissière. Pour faire chier les gens il faut être au premier rang!
J'avais d'ailleurs fait un remplacement en nettoyage dans cette grande surface. Cela n'a pas duré longtemps.

A un moment une femme est venue me voir d'un air catastrophé: "Mais vous vous rendez pas compte de ce que vous racontez sur nous!".

Il faut bien que les gens sachent.

mardi 7 avril 2020

vendredi 3 avril 2020

Vous l'avez abandonné!

raisons:

  •  rachitisme.
  •  mise en danger .
  •  tentative inutile de déshéritage.
  •  menace réitérées de suicide. 
  •  accusation de vol après un don.
  •  ne demande pas d'aide, désigne les amis qui doivent l'aider.
  •  risque de mettre mon nez dans des affaires qui ne me regardent pas.
  • le risque de me voir mêlé  à des règlements de comptes et de porter le chapeau.
  • une condamnation pour violence contre une personne agée (j'ai plaidé non coupable).
Lorsque vous avez été ou que vous croyez avoir été victime de mauvais traitements vous avez de forte chance de commettre des "erreurs". Il était préférable de le confier à des personnes mieux armées que moi pour assumer cette charge même si le bilan financier est moins bon. J'ai abandonné aussi rapidement que possible une partie de mon héritage (la moitié) à mes neveux.

samedi 28 mars 2020

covid 19

D'une part je n'aime pas qu'un poste de ce blog soit supprimé sans en être averti. C'est la troisième fois. L'abandon d'une mise à jour ne devrait pas aboutir à la suppression d'un poste déjà publié (bug ou malveillance?).

Dans le cadre de ce blog ou je n'hésite pas à commenter et proposer bien qu'étant néophyte et en prenant le risque de dire de grosses conneries.

Je prends donc à nouveau la précaution de prévenir que mes remarques ne prétendent pas améliorer la situation et même pourrait causer un aggravation dans certain cas. A vous de juger.


J'estime d'abord que le problème de la protection des individus avec masques, désinfectant et gants a souvent mal été présenté car on aurait du bien différentier deux cas:


-- la protection du personnel médical dans un environnement très risqué c.a.d protéger de manière quasi certaine une personne  saine  de la contagion par un malade.

-- le ralentissement  de la contagion dans un environnement normal: c.a.d réduire  le risque  qu'une personne contaminée puisse contaminer les personnes de son entourage en se munissant  d'un  appareil (y compris d'un masque imparfait ....) .

Plusieurs questions risquent  d'être rapidement posées:
-- l'utilisation systématique par toute la population d'un masque même imparfait permet-il de réduire la contagion?
-- Quel est l'impact d'une réduction de 10,20,..80% du risque par le port d'un masque sur la vitesse et l'ampleur de la contagion?
-- Pourquoi des stocks stratégiques de masques (lavables), gants, solutions et gels alcooliques n'ont pas été constitués par l'état et pourquoi des moyens d'augmenter la production n'ont pas été étudié dès le départ de la contagion? Quelle information a été donnée à ce sujet au cour de la contagion?
-- Comment fabriquer de manière artisanal un masque même imparfait?

En comparant dans différent pays   les solutions adoptées et les résultats obtenus il est possible que le WHO, des états , médecins, journalistes et des citoyens comme moi subissent des actions en justice si des personnes accumulent des preuves de négligence ou de désinformation.

Un  exemple de fait qui pourrait déboucher sur une action en justice:

En cherchant avec Google un moyen de fabriquer un masque j'ai trouvé une documentation de l'AFNOR. Comment se fait-il que l'AFNOR publie une photo de personnes se touchant les coudes pour se saluer sur la première page du document alors que le gouvernement a officiellement conseillé d'éternuer ou de se moucher dans le coude? Peut-être le gouvernement devrait il aussi conseiller sur une manière de se dire bonjour avec un risque minimum c.a.d en évitant tout contact physique et en gardant ses distances même muni d'un masque. Le document de l'AFNOR rappelle d'ailleurs lui même qu'il faut garder ses distance même en portant un masque! De plus j'ai essayé de trouver sur internet des tissus qui correspondent aux caractéristiques données en annexe du document de l'AFNOR et je trouve que cela est difficile. La prochaine étape aurait été de contacter les fabricants et revendeurs de tissus pour qu'ils puissent spécifier la compatibilité de leur produit avec ce document. Je pense aussi que dans la situation actuelle aucune restriction ne devrait exister sur la reproduction du document mise à part de ne pas le modifier. 



Voici aussi une copie de la page du site du who qui pourrait aussi être la cause d'un procès contre le WHO.

Surtout si il était confirmé que :

  1. comme j'ai cru l'avoir lu- la moitié des porteurs du virus pourraient ne pas avoir du tout montré de symptômes tout en ayant été à un moment contagieux. 
  2. il faut environ 7 jours en moyenne  avant de développer des symptômes. Période pendant la quelle on est aussi contagieux.
Donc de très nombreuses personnes auraient  été contagieuses tout en semblant être en bonne santé. Hors le WHO leur a conseillé d'attendre les symptômes avant de commencer à porter un masque comme indiqué ci-dessous:



Et un bilan pour quelques pays qui résume (si les données sont correctes) la situation sur les performances de quelques états.


Je n'apprécie pas d'être traité d’irresponsable (citation à la radio). Je ne prétend pas et n'ai jamais prétendu  être un citoyen modèle. Mais je signale que j'ai accepté et   travaille actuellement  dans un environnement à risque accrus (froid , sang, humidité, eau) de nettoyage agroalimentaire. J'apporte mon propre masque de protection au travail. J'estime que l'état a eu plus d'un mois pour se préparer et que les résultats pour un pays à la pointe du développement sont décevant. Les Français vont devoir peut-être choisir d'autre solutions pour  l'emploie des ressources du pays. C'est à dire recentre les dépenses vers ce qui est essentiel pour notre santé et notre sécurité.

La crise va être l'occasion de réfléchir aux possibilités de s'adapter aux pandémies et toujours dans l'esprit de ce Blog je me permet de proposer c.a.d parler dans le désert comme l'atteste la critique sur le choix de la photo sur le site de l'AFNOR (contact physique):

-- généraliser l’utilisation de containers ou de remorques prêtables  pour éviter que des chauffeurs étrangers rentrent sur le territoire (un chauffeur  prends le relais à la frontière).
-- équiper la poste de lampe UV pour désinfecter le courrier.
-- prévoir l'installation d'extension aux hôpitaux sur le parking des hôpitaux ( tentes, containers sur plusieurs étages).
-- prévoir des zones de quarantaines (y compris des couloirs de communication entre les zones) pour les voyageur entrant dans le pays et même des salles semi-confiné permettant des réunion entre gens qui sont dans et hors quarantaine.
-- pouvoir (pré-) réquisitionner une partie de l'industrie dans des secteurs stratégiques para-médicaux.
-- pouvoir former rapidement des infirmiers.
-- avoir un stock stratégique d'alcool et gel et masques stock détenu en partie par la population.
-- pouvoir  former rapidement des infirmiers.
-- pouvoir lever des milices para-militaire pour faire respecter le confinement.
-- avoir des usines qui peuvent être reconfigurées pour pouvoir produire des produits d'urgence comme les masques ou les gel hydro-alcooliques.

lundi 9 mars 2020

Recrutement.

Deux coups de téléphone à 20 minutes d'intervalle.

https://drive.google.com/drive/folders/1Ke_MRXTJd88hz7LNjuuzcwANoNjRXLpb


Première journée je me bousille l'épaule et retourne chez mois  au bout de 4 heures.
Visite médecin le lendemain, traitement et j'y retourne le lendemain  en essayant de rattraper mon poste ( le précédent sur le poste a du avoir des problèmes aussi).
Au bout de trois jours toujours pas de contrat à signer mais plus de promesses (en attendant de trouver mon remplaçant).
Je suis en droit de me demander si la personne que je remplace a vraiment démissionné.

Pendant que je réussi à redresser partiellement la situation je dois subir -comme d'habitude-  des réflexions fréquentes:

-- " il s'est trop branlé".
-- "tu ne pourra pas rester".
--  "il pourrait nous diriger" (est-ce l'équipe ou l'entreprise?).
--  "tu l'est".
--  "c'est à cause de lui que je me suis fait viré."
--  "J'ai besoins de quelqu'un de solide".
--  "tu dois t'excuser, tu devra partir".
--  "j'ai appris que vous êtes en train de le harceler, vous aurez  à faire à nous si vous continuez"(pas convaincant semble-t-il).
-- "c'était pour me remplacer".
-- "il est trop sale".

Vu l'état du site et les instructions données ("il n'y a pas besoin de désinfecter" ,"puis je avoir la dose de désinfectant") on peut se demander à nouveau ou se trouve la limite entre l'industrie du service et l'organisation de l'extorsion.
Finalement je dois bien consentir qu'il est dommage de continuer à 60 ans de laver les chiottes alors qu'il serait possible de diriger Google.
Nouveau coup de fil le 17/3/2020 enregistrement dans le folder drive (lien ci-dessus).
Me propose un CDI à nouveau (un mois de période d'essais). Le type qui ma remplacé semble-t-il  ne veut pas rester et le chef d'équipe est malade. Le poste est risqué d'un point de vue sanitaire et physique (abattage de volaille). Je demande un CDD de 15 jours mais j'aurais du le renvoyer vers ma boite d’intérims. J'appelle le siège et je leur explique que je ne peux accepter à nouveau un CDI et me retrouver remercié (un mois de période d'essais) au bout de quelque jours parce qu'ils on trouvé une personne plus adaptée pour le poste. Le type rappelle et me dit qu'il n'a plus besoin de moi. Pour moi il est fortement possible qu'il jongle avec les contrats pour obtenir le salaire le plus bas. Un mois de période d'essais permet de se débarrasser facilement du type.

jeudi 27 février 2020

stellere emploi

Je postule pour un emploi en intérim de manutentionnaire de volaille.
Cela se trouve à Plouay ou j'ai déjà travaillé (Délice Mondial et Celtys).
L'annonce stipule une mission à temps partiel de quelques heures (4 heures je crois) pour deux jours.
Je réponds favorablement à cette annonce car je sais qu'elle peux me permettre d'obtenir un travail soit plus près de mon domicile soit pour une temps plein. J'explique à l'agence Stellere Emploi que cela ne me dérange pas de faire autant de km pour si peux d'heures dans le cadre de la mission courte qui m'a été proposée.
Au cour de la conversation j'ai la désagréable impression (et c'est la deuxième fois que cela arrive) que cette personne essaye de me faire dire que je refuse la mission et indirectement essaye de me faire radier de pole emploi.

Voici la conversation avec l'agence d'intérim:
https://drive.google.com/file/d/1GEyRr-aDa8h7HRmqyfziSa_sp2lD0XA0/view?usp=sharing