vendredi 4 mars 2022

Harcèlement.

 A nouveau une campagne de harcèlement massive à mon encontre:

 Au travail, sur les lieux publiques et dans la sphère privée (radio fm, à moins que cela soit des hallucinations fréquentes pendant l'écoute de voix humaine peut être induites par le harcèlement à l'extérieur ).

Les menaces sont de plus en plus fréquentes:

-- "Les gens qui parlent ne sont plus tués on les baises".

-- "C'est décidé, il faut que tu te tire".

-- "Tu sera tué si tu le fait."

Les méthodes employées sont à rapprocher des événements qui ce sont passés aux Halles de Quimper ainsi que des usines de Boutet-Nicholas à Rosporden, de Peny à Saint Thurien, et de la Chaillotine ( Kerana) à Guiscriffe.

Il y a différentes formes de harcèlement:

-- des réflexions, messes basses concernant ma personnalité lorsque je passe à proximité:

"Il était pédo","Il a refusé d'initier ma fille" , "Il n'aurait pas gagné (chess)", "C'est juste un agent", "Il est vraiment commandant" (je suppose que j'en aurais été informé). "Il a trouvé" "C'est le bordel" (chez lui), "Il est fou, il ne faut jamais parler" (ça tombe bien je n'ai rien d’important à révéler), "Ce sont des cons" "Ils sont touts coco" (concernant GNU je pense), "Sont bateau ne vaut rien" "Sont site ne vaut rien".

-- Obstruction au travail: 

On cherche à me faire exécuter le travail d'un certaine façon qui empêche une meilleur qualité et productivité.

-- Surveillance et communication d’informations me permettant de savoir que je suis surveillé:

traçage de mes déplacements (en arrivant dans un magasin on m'identifie immédiatement et on me le fait savoir).

-- Communication d'informations pour identifier les organisations à l'origine du harcèlement:

"Il faut que tu nous rembourse" ( à propos de formations bidons ). "C'est grâce à lui que j'ai pu obtenir ce poste" (leader politique).

Probablement un tir croisé de plusieurs camps politiques.

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