mardi 21 août 2018

Sous pression

Il me faut encore en parler:

Noz Quimperle: On me prévient pour la deuxième fois ( la première fois c'était au carrefour de Bourg Argental ) qu'un membre de ma famille se prostitue et de ne pas y toucher. Les personnes me prévenant se présentent elle même comme des prostitués et me mettent en garde. Mais j'ai déjà prévenu la gendarmerie. Je pourrais aller plus loin encore et prévenir le fisc.

D'une manière générale de nombreuses personnes continuent à me faire des réflexions en passant à côté de moi:
"On a pas le choix il faut continuer, c'est le seul moyen, c'est comme cela qu'on fait".

En passant à la caisse du Leclerc Quimperlé:
"Il ne faut jamais parler".
"S'il avait parlé il aurait été tué".

Ou en core en sortant:
"Je les connais c'étaient deux salauds".

"Vous boitez, vous ne pouvez plus marcher, vous allez être déclaré invalide". Personnellement je préférerait largement ne pas être déclaré invalide car les indemnités ne compensent jamais complètement le handicap.

De très belles jeune femmes et jeunes filles  aussi qui me dévisagent,  probablement mal aiguillées:
"Il n'a pas d'argent".

Des enfants sont aussi trop souvent utilisés (deux cas de provocation cette semaine).

Et aussi des personnes appartenant au secteur médical et c'est très perturbant à cause du pouvoir de nuisance qu'ils ont.

Dans certain cas je pense que l'on peux commencer à parler de torture psychologique.

Je suppose aussi que beaucoup de gens riches ou célèbre vivent un enfer bien plus dangereux et que cela expliquerait leurs difficultés à quitter certaines addictions.

Je voudrais ajouter que je n'ai pas d'apriori négatif à l'encontre des prostitués ou des homo et bisexuels. Mais il ne faudrait pas que ces communautés interprètent le problèmes que j'ai avec  certain de leurs membre comme une hostilité à l'égard de la communauté.  Si ces communautés globalisent trop vite les conflits alors je globaliserai aussi.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire