Extrême onction.

 Avec deux allées aux urgences et un retour mouvementé le dimanche en taxi (130€), je me dis qu'il est peut-être temps de mettre toutes les chances de mon côté. 

La solidarité de gauche ne semble plus suffisante!

J'ai entendu parlé par ma mère qui comme mon père a bénéficié d'une forte éducation religieuse, de l'extrême onction. J'ai un manque sérieux dans ce domaine, mais j'y pense souvent. Souvent j'essaye de me référer à ce qui serait son message essentiel. 

Une partie de moi est  toujours en train de casser la gueule à l'autre, sensible au chant de la spiritualité. Mais ces derniers temps cette partie est aussi très affaiblie....

C'est pour cela  que je décide de consulter l'article extrême onction de Wikipédia: Point n'est besoin d'être au bord du précipice pour la recevoir!

Franchement je n'oserai pas déranger un prète pour cela. 

Une simple onction peut-être...

Les hôpitaux pourraient peut-être mettre au point  un robot ou un distributeur automatique.

Qualité des soins

 Je site: ''le coût des soins est payé en partie par nos impôts ''

Moi je croyais qu'il était payé par les cotisations sociales  liés aux salaires ou aux prises en charges par les assedics.

Comme je ne paye plus d'impôt sur le revenue depuis longtemps je me sens visé.

Et comme plusieurs personnes on en plus un comportement apparement hostile ( ''il est fou'', ''pour qui il se prend?'', ''il faut le mater'') , je  me demande aussi si la qualité des soins est fonction de la qualité morale du patient.

Ce qui  a mon avis correspondrait  a une entrée dans un processus criminel.

J'entends plus tard :''on ne peut plus continuer comme cela, on est plus assez, on va se faire écraser''.

Moi je dis au médecin et à une infirmière: ''Meme si Hitler lui même se trouve dans votre service, il doit être traité avec professionnalisme et neutralité''. (Si il est pris en charge par la sécu).

harcèlement

Depuis quelque semaines  il y a à nouveau une intensification du harcèlement. Cela marche par vague selon l'inspiration du dernier  imbécile avec qui je me suis accroché. Je sens une très nette augmentation de la  pression depuis la fin de mon dernier contrat sur Quimperlé. 

Par exemple: plusieurs personnes me traitant de fainéant. Je n'ai pas répondu sur le moment mais je leur conseille d'aller faire le travail que je faisais en essayant de respecter les règles de conformité. 

C'est peut être du aux personnes qui font exprès de  me provoquer lorsqu'ils passent devant chez moi et que j'envoie régulièrement balader.

Comme toujours depuis que je suis arrivé en Bretagne, les incidents auxquels j'ai participés  ont eu des répercussions très étendues. 

Et il n'y a pas que les "émigrés" qui s'en plaignent! J'ai entendu, longtemps avant de venir m'installer en Bretagne, des Bretons de pure souche (Brigitte , Jean Luc)  se plaindre de ce qu'ils ont eu à subir dans leur mère "patrie" et d'ajouter que le nombre de cons -je site exactement  le terme- justifiait une émigration à Paris. Sur le moment je n'y ai pas vraiment cru. D'ailleurs je  cela ne m'a pas dissuadé de venir m'installer en Bretagne. Mais maintenant j'en ai compris la portée. Il a fallu deux années pour me faire une idée claire et prononcer un jugement. Souvent exagéré je l'avoue. Mais facilité par le fait que de très nombreuses personnes ne se sont pas privé de me juger et même d'appliquer une peine. J'ai appelé cela le serinage.

Les conneries à faire se propagent très  rapidement en prenant  comme prétexte la solidarité. Par exemple suite à un conflit d'intérêt, je décide de stopper une formation. En ma présence un groupe de personne discute et l'une d'elle dit en me regardant: "On ne peut rien faire". Je suppose qu'elle voulait dire :"On ne peut rien faire au niveau légal". Ils peuvent quand même résister et faire jouer leur vaste réseaux. Même pas certain que vous soyez tranquille à l'étranger! Une des tentatives du réseaux a été d'essayer de me faire reprendre un travail dans l'informatique alors que l'ANPE m'avait fait signer une déclaration sur l'honneur indiquant que je voulais changer de métier. Déclaration que j'ai signée sans hésiter. J'ai accepté une autre proposition plus en adéquation avec ma formation mais qui a fini en catastrophe. Consolidant ma conviction du caractère malveillant de ce réseaux ou de son incompétence inexcusable.  Autre  exemple: je vais voir une ancienne collègue pour régler un problème  qui concerne son entreprise. J'aurais pu me contenter de faire une réclamation et faire virer des gens. Résultat et je me fais traiter de cons. Au fond c'est vrai: je suis trop gentil. 

Mais le plus dangereux dans cette situation  c'est que je soupçonne des gens d'utiliser des méthodes hautement criminelles de lavage de cerveau au sein de mon domicile. Par exemple juste à l'instant, entre  2h30 et 3h00 le dimanche 18 décembre. Ce type d'agression a pour moi le même ordre de gravité qu'une agression physique ou qu'un viol. Agression physique  que j'ai aussi à plusieurs reprises subit dans les usines. Plus l'obstruction. Plus la mise en danger. Plus la diffamation. Plus les menaces de mort.

Comme je le disais à une de mes connaissances: "Ce qu'ils font est une excellente  préparation psychologique au métier de tueur en série".

Parfois, un Breton se trouvent dans ce type de  situation et doit se battre contre deux millions de frères: Il  décide de passer à l'acte , en bousillant  par exemple une centaine de bateaux dans une marina, ou en détachant un bateau de sa bouée de mouillage. En bousillant un véhicule en réparation dans le garage pour lequel il travaille. En  retournant un paquet en cours de distribution sans explication ...la liste est longue. 

Certain Breton n'ayant plus la force de se battre finissent occasionnellement par détourner la violence sur eux même et se suicider. Je rappelle que le taux de suicide est dix fois plus élevé en Bretagne que la moyenne Française.

J'ai vu des managers se harceler mutuellement pendant des heures devant leur subordonnés....

Encore un exemple: un type prends ma défense et essaye de raisonner un vendeur qui me harcèle. En passant devant moi le même type qui me défendait me dit: "C'est dommage que tu ais parlé sur nous de cette manière, on t'aurait trouvé une place de chef de port!". Je me demande bien quelle mairie va pouvoir -même si elle le voulait- me donner ce type de responsabilité alors que je n'ai aucune qualification ni aucun diplôme.  

Vous ne pouvez rien dire: "C'est la tradition".

Retraite: reconstitution de carrière à valider.

retraite

Encore des hallus.

C'est souvent quand j'entends les gens parler. 

Parfois c'est en entendant des gens parler dans une pièce à côté.

Par exemple:

"c'est loin d'être un géni". Je réplique: "Le géni n'a rien à voir avec l'intelligence, par exemple: je suis un géni à faire croire que je suis intelligent et que j'ai un niveau ingénieur...je ne fais pas exprès, j'ai été un cancre pendant tout l'école primaire...ils ont même essayé de me transférer dans un classe 'd'adaptation' ".

"Je ne peux pas faire ce que vous me demandez, vous le diffamez, je vais être obligé de le signaler, je suis obligé de le faire".

"J'ai vu le films qu'il a visionné, c'est chaud. Il ne faut mieux pas donner son sang dans ce cas". Je rappelle que je suis en pause sexuelle physique (par opposition à virtuelle) depuis 1996.

"Je ne lui plais pas.....mes yeux c'est tout ce que j'ai.....si je lui plais......". 

C'est du géni aussi d'arriver à faire croire que je parle super bien l'anglais alors que je ne parle presque jamais et que je n'ai personne à qui parler. J'écoute et je lis beaucoup d'anglais. Je suis incapable de parler sans faire de grosse  fautes, ma prononciation est souvent mauvaise et les tournures ridicules. Mais je pense être capable de lire de la doc technique informatique sans trop de problèmes.

Combat.

 Je ne suis pas au bout de mes peines avec mes machines. 

Messages en tout genre me demandant de mettre à jour mon compte, de retaper sans cesse des mot de passes......

Il semble que des personnes ont décidé qu'elles ont  plus à gagner  qu'à perdre en agissant de cette manière. 

C'est à dire à me faire chier.

Je n'y métrais pas ma main au feu.