Je postule pour un poste dans un établissement publique très intéressant pour moi car CDI proche de mon domicile.
Je reçois un avertissement d'un ami (sur le mode de communication breton) : "Il est trop sale".
J'interprète cette communication par "ma candidature sera refusée".
Je reçois une proposition de mission du 20 au 22 que j'accepte et je déplace le rendez vous pour le poste en CDI.
J'entends le recruteur parler avec sa secrétaire pendant que la secrétaire trouve une nouvelle date:
"Il est fou".
Pour l'instant je n'ai pas vu de certificat médicale concernant une affectation psychiatrique.
Je suis considéré comme certe un peux vieux mais apte au travail par la médecine du travail.
Pourquoi donc maintenir le rendez vous puisque je suis "sale" et "fou"?
J'ai eu le même genre de problème quand j'avais postulé à la poste: a deux reprises des employées m'avaient informées que je ne serait pas pris. Au moins on ne m'avait pas demandé de me déplacer pour un entretient.
De plus je reçois une proposition pour une nouvelle mission (et qui se termine le 20) et donc qui chevauche la mission que je viens d'accepter. C'est un nouveau signe que l'on essaye de me faire annuler la mission que j'ai accepté. Je l'ai déjà fait et j'ai finit par rien faire.
Mais le plus grave est ce que j'entends en écoutant la radio: "T'est con tu aurais été mieux payé"
C'est encore pour mois le signe que je subis une atteinte à la vie privée doublée d'un "lavage de cerveau". Difficile d'en parler sans prendre le risque de se faire traiter de fou et de schizophrène.
Un tel traitement est pour moi aussi la preuve que l'on veut me pousser dans la criminalité. Car il a peux de chance que le type qui me fait subir un lavage de cerveau ne soit pas victime d'une agression si je le rencontre. Et il est déjà arrivé qu'un homme prétende être l'instigateur du lavage de cerveau juste après que j'en parle seul dans mon domicile et que je menace. Je l'ai rencontré sur l'ancienne voix ferrée pendant une marche à pieds le même jour à Scaër. Un homme petit d'une quarantaine d'année.