Entendu aujourd'hui alors que je traversais ma bourgade à vélo.
Des propos émanant probablement d'un couple homosexuel masculin:
"S'il aimait les femmes, il vivrait avec elles".
C'est un propos intéressant qui vient en échos à d'autres émanant je pense de la même communauté. Comme par exemple :
"il l'est".
C'est à dire je pourrais être pédophile ou peut-être homophobe et même les deux!
Il semblerait que la communauté homosexuelle ait étées et soit encore prête à m’accueillir les bras et même les fesses ouvertes. Mais on ne sait pas encore qui a été ou va être vraiment entubé!
Il semblerait que la communauté homosexuelle ait étées et soit encore prête à m’accueillir les bras et même les fesses ouvertes. Mais on ne sait pas encore qui a été ou va être vraiment entubé!
Je fais remarquer que si j'aimais les hommes plus que les femmes je devrais dans la même logique vivre avec eux et aux moins partager une expérience sexuelle avec eux.
Hors cela n'a jamais été le cas.
On pourrait argumenter encore que c'est seulement un problème d'ouverture d'esprit ou de courage.
Est-ce le cas?
Pour mois c'est plus un problème global d'intégration dans la société, un refus de s'engager, une tentative de préserver mon indépendance.
Certain pourraient penser que le meilleur dans la vie de couple -même éphémère- c'est de vivre et tout partager avec l'autre.
Pour mois c'est plutôt le sexe.
Hors le sexe est dangereux.
Je pourrais être contaminé.
Je pourrais aussi me retrouver père et prendre 20 ans de travaux forcés.
Je pourrais même donner naissance à un petit dyslexique qui en prendrait pour 75 ans.
Et de là on pourrait à nouveau ouvrir un débat sur l'intégration et l'avenir des dyslexiques dans notre société.
Que doit-on exiger d'eux?
Comment peut-on mieux les intégrer?
Pourquoi nous demande-t-on de cacher aux employeurs que nous sommes dyslexiques?