-- "il est trop sale"
-- "il est trop abruti"
-- "J'arrive pas à lire, pouvez vous m'aider?" puis plus tard "ils m'ont dit qu'il ne savait pas lire"
-- "On va être tous lourdé, on fout trop le bordel"
--" 'je l'aurais pas engagé si j'avais su ce qu'il a fait' " (Mais moi j'aurais du essayer de le faire lourder car il ne m'a pas fournis le matériel pourtant imposé par l'état: des gants de ménage qui résistent aux produits chimiques et qui sont suffisamment solides. Les gants pour faire la vaisselle qu'il m'a remis ne sont pas suffisant résistants ni d'ailleurs les gant vinyles. Mais je connais ce genre de manager en particulier un qui avait refusé de remplacer une pince pour ramasser les papiers sur le trottoir. Probablement pour m'obliger à me baisser. Ils font d'ailleurs parti de la même clique qui essaye de me faire lourder lorsque j'ai la chance de trouver un job. Un jour l'état trouvera peut-être un moyen de renflouer les caisses qui ont du casquer. Si ce n'est pas déjà fait.)
-- "il croit qu'il a des hallucinations". (Il est vrai que je n'arrive pas à croire que des gens adoptent ce type de comportement aussi massivement . Peut-être un reliquat des traditions celtiques? Ces traditions qui ont si bien servi les Bretons en France et les Irlandais aux Us.)
Quand j'étais petit je disais: "meuman y m'attaquent!". Et elle me regardait avec dédain. Donc j'y allais, mais comme j'étais rachitique et retardé, je me prenais une branlée à chaque fois. Aujourd'hui ils disent "ces gestes étaient trop désordonnées" ou "il a eu un coup de folie".
Un petit complément d'hallus:
à 17h le 18 décembre une personne passe en bas de chez moi alors que je suis en train de programmer. Comme de bien entendu cette personne fait une réflexion:
"Il pourrait être chef de projet".
Qu'est ce qui permet de faire une telle affirmation à part le fait qu'elle sait ce que je suis en train de taper?
En plus du reste on peut ajouter l'atteinte à la vie privée.