samedi 22 novembre 2025

Science Fiction

 Je regarde les news avec le site Theguardian.com.

Le président Ukrainien s'exprime sur les choix difficiles que l’Ukraine vas avoir à faire et son  travail pour éviter l’humiliation et infléchir les choix de ses principaux alliés.

J'entends par derrière un autre discours. "Ne viens pas en Ukraine, ni pour faire des photos ni pour programmer. Nous n'avons pas besoin de toi".

Cela serait vraiment humiliant pour moi si j'avais des sérieuses prétentions à propos de mon niveau en photographie et en programmation. La photo à toujours été un hobby sans que j'ai pensé à investir suffisamment de temps pour me hisser à un niveau pro. La programmation est depuis longtemps une activité amateur.

Dans un contexte de paranoïa, je mes demande qu'elle est l'utilité d'une telle intervention.

Je remarque que le contenu du message est fortement lié à mes activités du moment. Activité qui peuvent être déduite grâce à un  "traçage" internet. 

Plusieurs buts peuvent être recherchés:

-- Augmenter un sentiment de frustration personnelle en utilisant une critique émise par une personne connue.

-- Provoquer un sentiment hostile à l'égard de la personne connue.

-- Utiliser l'esprit de contradiction et provoquer une réaction pour incitant à aller en Ukraine.

....

...

2025-12-05

Je regarde sur internet de la documentation à propos d'un boitier Nikon D750 car j'ai de nombreuses optiques Ai ou pre-AI Nikon pour 24x36. J'entends :

"c'est vrai tu n'as pas un niveau suffisant pour travailler comme photographe professionnel". 

Je suis d'accords bien sur. Mais cela me rappelle les nombreuses fois ou j'ai entendu "C'est un excellent photographe". Moi j'aurais aimé avoir plus de connaissances sur les films argentiques, sur les couleurs et tout un tas de connaissance purement techniques qui deviennent parfois vite obsolètes. Il y a aussi d'autre problèmes: comment construire un image et comment elle est ressentie par la personne qui la regarde, tout cela en fonction de sa taille et du support: reportage, pub...c.a.d en fonction de la manière de la regarder. Il y aussi l'art de photographier les gens soit en "studio" soit en reportage: psychologie. Si les photographes sont spécialisé c'est que le domaine de connaissance est très vaste et qu'on ne peut être bon partout.

Jeune j'avais des obsessions d'amateur: avoir une photo bien contrasté avec des noir profonds. Photographier pour mon plaisir personnel des paysages que j'aimais bien et des proches.

J'ai eu de nombreuses opportunités d’acquérir certaines de ces connaissances . Mais j'ai souvent agi de manière inconséquentes. Je n'ai pas beaucoup progressé.  Ayant connu Gilles Ehrmann qui s'intéressait à mes activités en photo, il me conseilla de photographier des chose que je n'aime pas. Il me proposa même de l’assister pour un reportage sur le Printemps de Bourges. J'ai refusé de prendre des photos mais je lui est proposé mon aide gratuite pour des taches secondaires. Le reportage était commandé par mon père et la maison de la culture de Bourges... Il l'a mal pris. Pour lui, la gratuité équivalait à l'irresponsabilité. Il ne m'a confié qu'une seule tache d’assistance pour une prise de vue et cela c'est très mal passé. Je ne lui passai pas les objectifs demandés de la bonne manière: je n'étais pas assez impliqué. Il était tellement en colère que la plupart des photos qu'il a prises pendant ce spectacle étaient "bougées". Catastrophe. Gilles Ehrmann était lauréat du prix Nadar! Il ne m'a plus rien confié. 

Il faut comprendre mon histoire et la situation psychologiques dans laquelle j'étais:

J'ai eu une enfance très perturbé par problèmes de santé physique: rachitisme, méningite, asthme, toujours malade (déficience du système immunitaire) . En plus de cela j'avais des problèmes de santé mentale:  dyslexie, problèmes d'orientation dans l'espace et le temps. J'étais aussi très "agité". L'école primaire a été catastrophique en dépit du fait que mes parents étaient tous les deux des enseignants (math et français). C'est une période de la vie qui est déterminante pour la vie de l'adulte. Mes prof ne vouaient plus de moi, il est trop agité, trop handicapé, trop malade: il faut le mettre dans une classe "d'adaptation" avec les débiles mentaux et les autistes! J'ai même été interné, enfant, en asile psychiatrique. Une expertise psychiatrique révéla que j'étais dyslexiques et que j'avais un QI plus haut que la normal.

Mes parents et ma mère en particulier prirent les choses en main et m'encadrant de manière très énergique: 

-- méthode Coué et serinnage :  "tu est très doué", "tu est très intelligent", "tu est beau" (ils étaient inquiets que je sois encore puceau à 18 ans). 

-- travail intensif avec très forte pression et pas beaucoup de temps libre. Le surnom de ma mère jeune était "Mademoiselle j'ordonne".

Ils ont réussit à m’amener en première scientifique tout en menant des études de musique classique et du vole à  voile.

Je n'avais pas beaucoup de temps à moi, et je subissait de manière continue. En vacance je ne foutais plus rien et cherchais d'autres activités comme la voile, la marche à pieds puis la photo.  

Lors d'un d'un voyages récent, je croise une manifestation militaire. Apparemment je suis connu. Un officier dit en me regardant (mais c'est peut-être une illusion) : "il l'ont trop cassé quand il était jeune, c'est pour cela qu'on l'a affecté aux services-secret". C'est un fait connu: les gens cassés comme les homosexuels sont souvent "ciblés" par les services secrets car ils sont plus malléables. Je suppose donc "que c'était juste une mule". Je brode un peu: pas question de lui donner des responsabilités et en particulier des postes d'encadrement! "Il a rendu des services à l'état" mais le but principale n'étais pas qu'il revienne vivant. Moins il en sait, moins il y a de risque qu'il fasse des conneries! De plus la sous-officière à côté de lui dit le contraire: "ils lui on fait croire qu'il était officier dans les services secrets", pour que je ne me croie pas de reste, pour me stimuler., me redonner confiance.....

Avoir subis autant d'humiliations en étant jeune auraient pu être un moteur psychologique pour l'ambition de dominer les autres et d'accéder à des postes d'encadrement. Mais cela n'a pas été le cas. J'ai fait un peux d'enseignement mais pas de management. Mon plaisir suprême c'est de dormir tranquille dans ma chambre après avoir vu un film.

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