vendredi 4 mars 2022

Harcèlement.

 A nouveau une campagne de harcèlement massive à mon encontre:

 Au travail, sur les lieux publiques et dans la sphère privée (radio fm, à moins que cela soit des hallucinations fréquentes pendant l'écoute de voix humaine peut être induites par le harcèlement à l'extérieur ).

Les menaces sont de plus en plus fréquentes:

-- "Les gens qui parlent ne sont plus tués on les baises".

-- "C'est décidé, il faut que tu te tire".

-- "Tu sera tué si tu le fait."

Les méthodes employées sont à rapprocher des événements qui ce sont passés aux Halles de Quimper ainsi que des usines de Boutet-Nicholas à Rosporden, de Peny à Saint Thurien, et de la Chaillotine ( Kerana) à Guiscriffe.

Il y a différentes formes de harcèlement:

-- des réflexions, messes basses concernant ma personnalité lorsque je passe à proximité:

"Il était pédo","Il a refusé d'initier ma fille" , "Il n'aurait pas gagné (chess)", "C'est juste un agent", "Il est vraiment commandant" (je suppose que j'en aurais été informé). "Il a trouvé" "C'est le bordel" (chez lui), "Il est fou, il ne faut jamais parler" (ça tombe bien je n'ai rien d’important à révéler), "Ce sont des cons" "Ils sont touts coco" (concernant GNU je pense), "Sont bateau ne vaut rien" "Sont site ne vaut rien".

-- Obstruction au travail: 

On cherche à me faire exécuter le travail d'un certaine façon qui empêche une meilleur qualité et productivité.

-- Surveillance et communication d’informations me permettant de savoir que je suis surveillé:

traçage de mes déplacements (en arrivant dans un magasin on m'identifie immédiatement et on me le fait savoir).

-- Communication d'informations pour identifier les organisations à l'origine du harcèlement:

"Il faut que tu nous rembourse" ( à propos de formations bidons ). "C'est grâce à lui que j'ai pu obtenir ce poste" (leader politique).

Probablement un tir croisé de plusieurs camps politiques.

mercredi 9 février 2022

Don du sang. Recopie d'un arcticle du 9 février 2022 et ajout d'un complément le 19 mai 2022.

Février 2022:

J'arrive au guichet pour m'enregistrer: "J'ai rendez vous à 12h05"

Pendant l'enregistrement alors qu'il est marqué dans leur fichier que j'ai déjà donné plusieurs fois il me demande si c'est la première fois. Puis à nouveau la questions  sur l'âge, l'adresse le numéro de téléphone. Je comprends qu'il faille prendre des précautions mais cela devient un peux trop lourd. Je lui rappelle que j'ai été remercié par le ministères pour mes dons.

Mais surtout c'est le harcèlement sous forme de murmure à aux moins quatre reprises: "Vous êtes fou". Je me demande si le secrétaire n'est pas homosexuel. Cela correspond tout à fait à ce qu'ils me font subir depuis plusieurs années.

A chaque fois que je me suis présenté à ce guichet, j'ai eu droit d'une manière ou d'une autre à des comportements de ce type.

Je passe devant le médecin et tout ce passe bien, mieux qu'aux derniers don ou le médecin avait lourdement insisté sur le fait que mon sang pouvait être utilisé par des enfants. 

Puis le don. Elle enfonce l'aiguille mais le sang ne sort pas.  Une autre infirmière arrive à la rescousse. Au bout d'un certain temps elle décide d'enfoncer plus profond. J'ai fait plus de 10 dons et jamais je n'ai eu un tel problème. Bon c'est un coup de malchance ........ mais alors pourquoi j'ai eu exactement le même problème lorsque je suis venu la dernière fois dans cet hôpital aux urgences. Un interne pique le genoux pour un prélèvement mais exactement le même problème : rien ne sort. Nouvelle piqure par le médecin cette fois. Rien ne sort.

Deux fois coup sur coup, ce n'est plus  de la malchance. 

Puis pendant que le sang enfin s'écoule, la belle infirmière murmure elle aussi: "Il a mis juste un doigt". Encore une tactique qui a été employée pendant les précédents  dons. 

Franchement ces deux personnes feraient mieux de changer de métier et de quitter le domaine médical.

S'ils ne veulent pas de mon sang qu'ils l'écrivent. Mais ils n'en n'ont pas le courage. Ils préfèrent utiliser des moyens détournés.

A partir du moment ou les professionnels de santé ont alertés les responsables et la police si ils veulent, ils doivent opérer normalement. Ils ont eut plusieurs jours pour préparer ce don. Dès que le médecin donne le ok pour le don  ils devraient à mon avis faire abstraction de leur jugement morale pour opérer. C'est si j'ai bien compris le BA BA de la profession.

Maintenant ils peuvent toujours mettre le sang de côté, re-évaluer l'opportunité du don  et m'aviser si nécessaire. Mais en aucun cas augmenter les risques liés au stress provoqué par une telle situation. J'ai d'ailleurs autorisé plusieurs types d'utilisation du sang dans la papier que j'ai signé.

Je le rappelle je n'ai pas eu de relation sexuel au sens large avec une autre personne depuis 1996. La manière dont j'ai été traité plus d'autres facteurs ne m'y ont pas encouragé. Depuis 1996, pour mes besoins sexuel j'utilise uniquement internet. 

Mais il m'arrive de caresser (uniquement) des chats, des chiens et parfois des chevaux. J'ai même essayé avec un coléoptère! En fin de compte, c'est avec les mouches que j'ai le plus de succès...

La suite en Mai 2022:

2022/05/18 coup de téléphone :

--Monsieur Dechico on a besoin de votre sang!

-- Oui ok quand puis-je me présenter?

-- Demain 13h50

Je me présente. Questionnaire. Choix du bras. Pickage. Au bout d'un certain temps l'infirmière contrôle la sacoche de sang et commence à bouger l'aiguille dans mon bras. Ca fait moins mal d'ailleurs après mais le sang ne coule toujours pas.

-- " Vous avez un problème"?

-- "Le sang ne coule plus. On a seulement 60 ml. Il y a peut être eu coagulation.

Arrêt du prélèvement. Un aller retour de 80km inutile et plusieurs heures perdues.

Je peux comprendre qu'il y ait des incidents médicaux mais c'est le deuxième consécutif. Il ya a peut-être un problème de matériel ou de compétence du personnel. 

Mais d'autres indices m'indiquent que c'est peut-être encore un problème d'obstruction. Lors de mon interrogatoire écrit on me demande si je prends des médicaments et j'ai répondu oui. Je prends en effet régulièrement de l'aspirine. Mais le médecin lors de l'interrogatoire oral ne me demande pas de préciser quel médicament je prends. Je peux donc supposer que le médecin a pris la décision de ne pas faire le prélèvement au cours de l'interrogatoire. Mais ne pouvant pas donner officiellement la véritable raison il est possible qu'il ait décidé d'en informer uniquement l'infirmière après s'être mis d'accord avec elle et les autres. Il aurait été plus discret de laisser finir le prélèvement!

Encore un point de plus pointant vers cet hôpital au sujet de l'égalité des soins et du respect de la législation. 

Je suis certain qu'il sont persuadé de faire une bonne action. 

Aujourd'hui nous avons sauvé un patient!

vendredi 7 janvier 2022

Renonciation.

Vous êtes un fou!

C'est justement là le problème. 
Si il est fou mieux vaux ne pas lui confier l'héritage, il risque de ce le faire piqué rapidement. En tout cas une partie. 

Quoi ? Laisser tout cet argent à ce fou? Il est bien mieux dans la poche de mes amis et dans la mienne!
C'est dommage avec tous les ennemis qu'il s'ait fait on aurait pas eu de mal a en récupérer une partie!
Je lui avait justement trouvé un acquéreur!
Il aurait été obligé de vendre rapidement.
On va être encore obligé de trafiquer les comptes!

mardi 4 janvier 2022

Protection.

-- "Je vous ai protégé."

-- "Mensonge par omission! Vous m'avez protégé parce que vous m'avez utilisé, même si c'était pour leurrer."

Remarquez que s'il fallait de toute façon le protéger alors autant l'utiliser car cela permettait de réduire les coûts mais aussi de justifier un 'contrôle' plus resserré. Plus on est de fou mieux c'est! On est enfin entre nous!

C'est le problème avec les gens dont c'est le métier de mentir. Çà arrive aussi aux acteurs. Pour s’entraîner ils continuent de jouer même quand les caméras sont arrêtés. Une sorte d'angoisse perpétuelle de ne pas être à la hauteur. 

Mais pour un agent il y a aussi l'angoisse perpétuelle d'être démasqué et la nécessité de mentir en permanence . Cela provoque une  tentation de révéler une vérité pas bonnes à dire surtout avec le proches. Le fardeau est trop lourd à porter et un psychiatre ne peux à lui seul restaurer l'image renvoyée par les proches.

"Il faut le rendre fou." comme une sorte de mise à la retraite.

jeudi 23 décembre 2021

La pharmacie de la ville d'à côté.

J'ai pu obtenir par cette pharmacie un premier rendez-vous avec l'infirmière dont le cabinet se trouve à proximité pour la première vaccination. Un rendez vous beaucoup plus rapproché (vaccin Astra Zenica)  que celui que j'avais pu obtenir avec une autre pharmacie  de ma ville (vaccin Arn) que j'ai annulé immédiatement après avoir obtenu ce nouveau rendez-vous. J'avais noté la bienveillance particulière du pharmacien à ce moment et je m'en étais réjouis.

J'avais pris le deuxième rendez vous avec l'infirmière mais pour la troisième  vaccination celle-ci m'a demandé d'attendre qu'elle me recontacte après le 20 décembre pour obtenir le rendez-vous. Je n'ai été recontacté qu'aujourd'hui par elle alors que j'avais déjà pu obtenir un troisième rendez vous avec la pharmacie qui travaille avec elle pour le 18 janvier. Je lui en fait part mais et elle me dit: "ok j'annule".

Pris d'un doute (à cause du mot 'annule') puisque la pharmacie avait pris le rendez-vous pour l'infirmière la première fois je retourne à la pharmacie pour bien être sur que le rendez-vous n'a pas été annulé et je lui demande quand il a transmit les rendez vous à l'infirmière. En fait je finis par apprendre que la vaccination n'aura pas lieu dans le cabinet de l'infirmière mais dans sa pharmacie. Ce que le pharmacien a oublié de me préciser lors de la prise de rendez pour le troisième vaccin.

Pendant notre entretient le 23/12, le pharmacien a complètement changé d'attitude dés mon entrée dans sons son officine . N'ayant pas compris que la troisième vaccination aura lieu dans sa pharmacie plutôt qu'avec le cabinet infirmier, j'insiste pour qu'il vérifie son registre  et je lui demande de faire attention à ce qu'il dit (il m'a semblé entendre les murmures habituels pour me rendre fou, notamment "vous êtres fou". Ce qui pourrait être vrai).

Mais je connais ce genre de situation pour l'avoir vécu à maintes reprises en Bretagne:

Vous arrivez quelque part et vous êtes reçu les bras ouverts, puis une personne passe et parle sur vous. Changement radical d'attitude, coups fourrés et maltraitance. Puis une deuxième personne passe et nouveau revirement d'attitude. Puis une troisième  personne ....jusqu'à la nuit des temps....

Cela est particulièrement angoissant lorsque cela ce passe avec des membres du milieu médical car cela mine la confiance que vous pouvez avoir en eux en vous donnant l'impression que si vous avez eu des conflits avec des personnes appartenant à leur communauté d'appartenance (politique ou sexuelle religieuse culturelle ...... ) vous serez moins bien traité.  

J'avais cru comprendre que l'impartialité (au moins apparente!) était un problèmes auxquels les ordres de médecins et de pharmaciens sont très sensibles pour garantir la pérennité du commerce et le sentiment d'égalité des droits aux soins.

Je suis bien conscient que l'état et les ordres font tout leur possible pour garantir l'égalité des soins. 

Mais je dois faire le point sur les problèmes que j'ai rencontrés au cours des 25 dernières années:

En prenant en compte que ce qui m’apparaît comme un incident technique médicale est le résultat d'un avis personnel non professionnel.

-- Médecins généralistes: plusieurs comportement anormaux, changement de médecin traitant.

-- CHS de Quimper: 5 problèmes concernant un comportement anormal de divers employés médicaux et un problème technique. Une lettre recommandée. Une autre lettre non envoyée concernant les urgences.

-- EFS de Quimper: 3 problèmes concernant un comportement anormal d'employés médicaux (dont deux remarques par des secrétaires médicales concernant ma vie privée et mes pratiques sexuelles. Pratiques sexuelles qui je le rappelle n'incluent plus de partenaires physiques depuis 1996). Une lettre non envoyée. Un déplacement pour faire une main courante non prise par l'agent de police faute de temps.

-- Hôpital Annonay et dentiste: refus d’examiner un abcès dentaire et perte de molaire.

-- CHS de Lorient: deux problèmes de comportement anormaux d'employés médicaux.

-- Pharmacie du coin: nombreux comportement anormaux des employés médicaux et dirigeants.

-- Médecins spécialisé quimper: 2 comportements anormaux.

-- Clinique de Lorient: une intervention chirurgicale refusée par moi même.

lundi 20 décembre 2021

Karacho !

 En 1992 je crois, l'Irak envahissait le Koweit. 

A l'époque des bruits circulaient avant même l'invasion. Une fois le conflit armé démarré je suivais l'actualité à la radio et la commentais seul dans mon appartement: "Karacho".

Voilà que trente ans plus tard une jeune collègue ressort le mot "Karacho" en me regardant d'un œil menaçant. 

Cela ressemble fortement à des professionnels du renseignement-amateur qui ressortent de vieux dossiers histoire de faire vider un collègue.

Cela résume bien une remarque que j'avais fait à la justice:

-- Atteinte à la vie privée (J'ai le droit de dire "karacho" sans être accusé d'être pro-russe)

-- Diffusion d'information relevant de la vie privée.

-- Interprétation erronés des informations collectées.

Selon moi, la principale raison est la recherche d'informations permettant de nuire à la personne sous n'importe quel prétexte avec pour principale  cause l'intérêt personnel. Et cela a été fréquemment le cas.

C'est probablement pour cette "affinité" russe que j'ai été recruté par Duracell et encore peut-être pour cette autre même raison que j'en ai été vidé aussi facilement.

Il est vrai que j'adore les actrices pornos de l'Est. Elles me semblent beaucoup moins froides que ce que j'ai entendu dire à propos des putes russes à l'époque de la guerre froide. Il devait être difficile de se prostituer avec le visiteur "capitaliste" sans faire du renseignement. Et le renseignement ça refroidit un peu! Il faut réfléchir et garder le sang froid! Tout en sachant que l'on peut-être -agent ou pas- sacrifié à tout moment.

Moi je suis un amateur du renseignement-professionnel mais pas jusqu'à la passion comme pour les actrices avec des seins en forme de poire haut placés!

C'est intérêt pour le renseignement fait parti de ma tentative de penser "globalement" comme un président tout en étant proche d'un état de SDF.  

dimanche 5 décembre 2021

Hallucination

Je suis à mon bureau et je mets à jour mon CV sur site internet.

J'entends tout d'un coup avec l'oreille gauche:

"T'est qu'un con, ils voulaient te garder".

"Tu pourrais sortir avec eux si tu voulais."

Parfois c'est quand je dors, comme si quelqu’un venait derrière le mur contre lequel se trouve mon lit.

Une  fois j'ai piqué un crise et dit :"Si je trouve le type qui fait ça, il va passer un mauvais quart d'heure!"

Je sors faire ma promenade et croise une homme d'environ 45 ans qui me dit:

"C'est moi".

Et il parait que je suis devenu violent!

Même avec ce qui c'est passé ces dernières années, mes "fantômes" et mes "hallucinations" n'ont pas cessés. Je pense même que la crise va  -au lieu de déclencher une trêve- accélérer la criminalité car c'est de cela dont il est question. Une criminalité qu'il est difficile de combattre avec des moyens légaux.

Aujourd'hui j'ai lu ou entendu parler de nos universités. Là aussi il y a des problèmes. Pour se défendre, il semblerait qu'il faut rejoindre un camp et avoir des appuis à l’intérieur du temple, sinon la probabilité de se faire éjecter augmente rapidement. 

Dois-je rejoindre un camp? Lequel?