jeudi 31 décembre 2020

A la banque

 J'arrive et j'attends mon tour:

-- "il a dit qu'il allait ........" 

J'entends ce qu'il ne fallait pas. Ou ce qui est dit intentionnellement pour me harceler. La personne sort de son bureau passe à côté de moi et pour montrer que je l'ai entendu je lui dit:

-- "Mais je le fait tous les jours!".

Je pose la question si je peux à nouveau utiliser mon crédit virtuel. "oui vous n'avez rien à signer, j'aurais pu activer votre crédit sans que vous passiez ".  

"Comment se fait-il que cela n'est pas été fait lorsque j'avais téléphoné à l'assistance pour me permettre de commander sur internet?"

"C'est parce que on ne se préoccupe pas de ce que le client à besoin"

Il est vrai que j'ai  répondu à la provocation par une provocation dont a résulté une seconde provocation. Deux à un pour la banque.

Quand on est comme cette employée en possession d'une information aussi importante on évite de provoquer les gens que l'on considère comme dangereux et on informe la police. Provoquer et insulter  systématiquement des gens que l'on considère dangereux ne fait qu'accroître le risque de violence et de crime et cela incite normalement un juge à condamner moins lourdement un crime qui a été commis après un harcèlement massif.

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